LE MARIAGE
Datte: 07/03/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... de lave dans mes boyaux, dans un râle rauque et profond.
Je me retourne ; il est en train de se rajuster
« C’est quand tu veux pour recommencer, ma belle salope » lance t’il en rebouclant sa ceinture
Je reste un moment étendue sur la banquette, pour récupérer après son départ
Je me relève, titubante. J’ai mal au cul, et j’ai du sperme qui dégouline de mes orifices, j’en ai aussi sur le visage, les seins, et le dos. Je récupère un de mes stilettos que j’avais perdu, et me mets à la recherche de ma robe. Je finis par la retrouver entre deux fauteuils., et l’enfile. Le haut, ça va encore, mais la fente latérale est déchirée, et, à chaque pas, j’ai carrément le sexe à l’air. Je ne peux pas repasser par le restaurant, dont j’entends la musique. Je me dirige du côté du parking. Le portillon d’accès est fermé, mais je dois pouvoir l’escalader.
Evidemment, je ne suis pas équipée pour ce genre de sport. J’enlève de nouveau ma robe et mes chaussures et les balance au dessus du portail métallique. Puis je grimpe sur un fauteuil que j’ai approché, et me hisse sur le haut du portail, avant de me laisser glisser de l’autre côté. Je suis assise nue comme un ver, en train de remettre mes chaussures quand j’aperçois un bonhomme, immobile au milieu du parking, qui regarde vers moi. Je remets ma robe , et en essayant de tenir les pans pour dissimuler mon anatomie, je prends le chemin de l’entrée, qui malheureusement passe devant le type. En avançant vers lui, je me rends compte ...
... que c’est un vieux bonhomme. Il est en smoking, avec un nœud papillon, et fume un cigare. Quand je passe à sa portée, il me questionne d’une voix avinée.
« C’est quoi, ce sport là, que vous faites ? »
« C’est la course d’obstacle pour les jeux olympiques naturistes » lui dis-je sans réfléchir
« Ah ! c’est nouveau alors ? »
« très nouveau. J’y vais, c’est chronomêtré ! »
Je passe mon chemin sans demander mon reste. Je suis maintenant à l’entrée de l’établissement. Je me faufile dans le couloir qui mêne au toilettes et croise une femme en robe longue brillante, qui me détaille d’un air choqué. Je passe les toilettes des hommes, celles des femmes, et je pousse une porte, qui commande l’accès au vestiaire. Il n’y a personne derrière le comptoir. Je cherche parmi les manteaux et vestes, et trouve facilement la housse qui contient mon autre robe. Je ressors, et vais vers une porte marquée privé qui est celle des vestiaires du personnel. C’est là qu’un peu plus tôt, je suis venue discuter avec un serveur, à qui j’ai confié les clés de notre voiture de loc, pour qu’il ramène ma robe au vestiaire, au cas où. Il me semble que j’ai vu tout à l’heure que cet endroit avait une douche. Au fond du local, il y a une cabine de douche ; un rève pour moi. Je me défais de ma robe et de mes chaussures , et je me jette sous l’eau tiède. J’utilise un morceau de savon trouvé sur place pour me récurer. L’eau détend mes muscles, et apaise un peu les brulures. Je n’ai pas de dentifrice, ...