LE MARIAGE
Datte: 07/03/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... moi ! » c’est moi qui ai crié. Il se dégage, mais continue à me branler, pinçant mon clito avec ses doigts le tirant , pendant que Fred vient me prendre par le fin, ajoutant à mon plaisir.
C’est marrant, la libido des hommes. Ils sont souvent incapables de rebander après un coup, mais tu leur présente un cul, et la machine repart !
Il me pistonne avec force jusqu’à se vider en moi avec un cri long et rauque. Du coin de l’œil, je devine Fred en train de se rhabiller.
Ils me relever. Franck s’est allongé sur le dos, et, ils me soulève, me faisant écarter les jambes, et me guidant pour que je m’empale sur lui. J’ai beau être préparée, ma cavité n’est pas habituée à des engins de ce calibre. Il me pourfend, petit à petit, en ma chair se tend pour l’accueillir. Il faut plusieurs minutes pour que j’arrive à l’emmancher jusqu’au fond de mon vagin. Les parois s’assouplissent et je peux commencer un rodéo digne des meilleurs western, empalée sur ce pieu, qui tape au fond de mon antre, et donne des décharges électriques. Maintenant, Franck me tient sous les fesses et me fait monter et descendre à toute vitesse sur sa grosse queue. Je ne suis plus qu’un sexe, un vagin géant qui dégouline de plaisir et gémit des mots obscènes. J’ai du jouir déjà trois fois quand je sombre dans l’inconscience.
Je refais surface sous les caresses de Franck qui pince mes tétons. Je fais très vite le point et me resitue.
« Tu t’es évanouie » me dit il « ça va ? »
Je reprends mes esprits, ...
... pendant qu’il me met à genoux sur la table basse. Il pique quelques coussins sur les fauteuil et les glisse sous mon ventre. J’ai maintenant, la tête contre la table, les fesses en l’air, au dessus de mes genoux écartés, et je dois ressembler à une pauvre grenouille ridicule. Franck a planté un doigt dans mon cul et en assouplit les muscles. Un second vient compléter sa sodomie digitale. Il vient maintenant entrer sa queue dans ma chatte, et va et vient doucement avant de ressortir. Il présente son sexe à l’entrée de mon cul.
« Non, c’est trop gros ! tu vas me déchirer ! »
« Désolé chérie, mais ton cul est beaucoup trop tentant !»
Là, j’ai vraiment peur. Il appuie son gland sur mon anus, et pousse, Mes sphincter s’étirent et brûlent. Je crie de douleur, mais il s’en fout. Il recule un peu et m’envoie un grand coup de rein qui le fait avancer un peu, et m’arrache un sourd gémissement. Son gland passe la barrière, mais contrairement aux deux autres je n’éprouve aucun soulagement. En procédant par a-coups, il me pénêtre jusqu’à ce que ses couilles viennent taper sur mon cul.
J’ai le souffle coupé. Il commence à me limer, avec de longs mouvements amples, et je me sens dévorée de l’intérieur par ce serpent fouisseur. J’ai parfois l’impression qu’il va ressortir par la bouche. Il accélère le mouvement et se lance dans une cavalcade sauvage, les doigt crochés dans mes hanches, son métro fou déchirant mon tunnel à chaque passage,,jusqu’à ce qu’il explose et lâche un torrent ...