1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (17/23)


    Datte: 06/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... copine doit être aux toilettes dépitées que je refuse de la baiser, tu le sais bien, tu l’as déjà prévenu que tu lui couperais les couilles si tu la voyais se faire sauter par moi.
    
    Je suis toujours empalée et en donnant son explication à sa maîtresse, il me soulève pour mieux me faire retomber sur sa verge, je suis toujours en feu, je redémarre un cycle orgasme finissant par hurler mon plaisir
    
    Il me reprend sous les fesses et me porte sur le lit, j’ai le temps de voir Corinne retirer son uniforme, me montrant sa belle nudité avant de nous rejoindre sur le lit.
    
    • Véronique, maman était sicilienne, la fidélité s'est sacrée chez nous, mais avec toi, ce n’est pas pareil.
    
    • Tient prend ma place, j’ai mon compte, trois orgasmes à cette heure, plus mon rendez-vous au val, je vous laisse, amusez-vous bien.
    
    J’enlève la verge de mon abricot, j’ai une putain d’envie de la baiser, le parchemin semblant ne pas avoir son compte ou alors c’est une impression qu’il dirige mes envies.
    
    Je rabaisse ma robe, m’apercevant que je n’ai même pas pris le temps de l’enlever et comme à mon habitude depuis quelque temps, je n’ai aucune culotte, seules mes chaussures me manquent.
    
    Je les retrouve dans l’entrée, une fois en tenue décente, je retourne vers la chambre, Corinne se fait pilonner avec autant de vigueur que je l’étais, je fais un signe de la main à Franck, lui envoyant même un baiser avec mes doigts.
    
    Je vois simplement sa main et ses doigts bouger avant de la reposer sur ...
    ... la hanche de cette cochonne de Corinne.
    
    Je ne quitte pas la gendarmerie, je fuis espérant que le parchemin va me laisser en paix, mais c’est pêne perdu, un petit bois, j’arrête ma voiture, je descends, je m’appuie à ma portière et je commence à me masturber.
    
    Je suis sur le point d’arriver à un nouvel orgasme quand je suis interpellé.
    
    • Un coup de main mademoiselle ?
    
    C’est un joggeur qui a pris le chemin de forêt et qui passe à proximité, il est en sueur, mais je n’en ai cure, il s’agenouille et me lèche, à la vitesse ou je suis partie de chez Frank, s’il avait déchargé, il lècherait son sperme.
    
    C’est moi qui le fais se redresser, lui baisse son collant de jogging, pas un mot de plus, surtout qu’il me retourne, m’ouvre le haut de ma robe et entrant en moi, il me pilonne à une nouvelle fois pour me faire jouir.
    
    J’ai l’impression que depuis que je suis entré chez Franck, je ne suis qu’un orgasme, il me remplit de son sperme criant lui aussi son plaisir.
    
    Sans un mot de plus, il doit remonter son collant et je le vois reprendre son chemin, mon parchemin m’a fait une nouvelle fois vivre une situation insolite, baiser avec un inconnu dans un bois.
    
    Je profite du coin calme pour me soulager, ma pisse coulant de mon vagin, le refroidit un peu, c’est divin, moins bien bon que la queue qui vient de décharger en moi, mais divin tous de même.
    
    Je prends des feuilles de noisetier pour m’essuyer, j’aime la nature, je reprends ma route, j’arrive tant bien que mal à ...