1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (17/23)


    Datte: 06/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... Donnez-les-moi, je vais les noter dans notre fichier et je lui dirais demain.
    
    J’étais en train de lui donner un peu déçu, mais la jeune femme que j’ai devant moi était rébarbative au possible.
    
    • Gendarme Roselyne, j’attends une visite vous l’enverrez à mon casernement.
    
    Véronique, excusez, de dos je ne vous avais pas reconnu.
    
    Avez-vous enregistré les papiers de madame ?
    
    • Oui mon adjudant, tout est en règle
    
    • Véronique, venez, je vous offre le café, je suis logé dans la gendarmerie, j’ai un appartement de fonction.
    
    Je vois bien que la dénommé Roselyne, fait une gueule, Corinne a profité du parchemin pour se faire sauter, il en est peut-être autant pour elle, il faut dire que Franck est très bien foutu.
    
    Mais peut m’importe, je veux tester le pouvoir du parchemin, va-t-il me défoncer la chatte comme il l’a faite dans la camionnette de gendarmerie l’autre jour.
    
    Je franchis la porte la chaleur dans ma chatte que je connais si bien maintenant me fais voir que même à distance, quand il le décide, ce putain de parchemin déclenche en moi une envie de baiser.
    
    Il en va de même pour Franck.
    
    • Putain de merde, j’ai eu peur de te louper, j’avais oublié que j’étais de repos aujourd’hui, heureusement que j’ai fait un tour vers nos bureaux.
    
    Dans le même temps, il me plaque au mur à côté d’un porte-manteau où il a eu le temps de poser son képi.
    
    C’est la première fois que des bras puissants me prennent comme un vulgaire fétu de paille, je sens sa main qui ...
    ... fricote dans son pantalon et sa verge entrée en contact avec ma chatte qui je le sens est dégoulinante.
    
    Pour la première fois, je sens sa verge glisser sur moi, non en moi, l'excitation provoquée par le parchemin pourtant resté à Dijon s’amplifie, je me sens soutenue sous les fesses.
    
    J’ai l’impression d’être un vulgaire imper placé sur le porte-manteau voisin, mais un porte-manteau bougeant en moi et de quelle manière, je me rends compte que je l’ai enserré à la hauteur de son cou.
    
    Il me décolle du mur, il est tellement balaise qu’il m’emmène jusque dans sa chambre où je pense atterrir sur son lit.
    
    Pour être mieux collées à lui, mes jambes viennent autour de ses reins, l’orgasme m’atteint au moment où il s’assoie sur une chaise.
    
    Pour la première fois si ma mémoire est précise nous nous embrassons, il me fait fondre, quel bel amant, j’ai là, même si après le deuxième orgasme qui me transperce de ma chatte à mon cerveau mon vagin en veut plus.
    
    • Fumier, tu baises avec Roselyne, depuis le temps qu’elle te fait les yeux doux.
    
    Au pardon, c’est toi Véronique, je préfère, je viens du bureau, la gendarme Roselyne de service au guichet brillait par son absence.
    
    C’est Corinne qui vient d’entrer dans la chambre, presque en courant, elle a commencé à gueuler dans le couloir et quand elle a vu que c’était moi qui baisais avec son mec, elle se radoucit venant même m’embrasser.
    
    • Ma biche, grâce à notre amie qui est encore au bout de ma queue, on s’est trouvé, ta ...