1. La stagiaire


    Datte: 06/03/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: MarcoX, Source: Hds

    ... vient en douceur m’appliquant à faire monter le plaisir progressivement et à profiter au maximum de cet instant. Je pouvais la sentir frissonner sous mes caresses et contracter son périnée autour de ma queue ce qui avait pour finalité de me faire bander encore plus durement. Au fur et à mesure notre plaisir respectif montait en parallèle. Je dégrafais son chemisier pour m’emparer de ses seins et les offrir à ma bouche. Elle était particulièrement réceptive à ma bouche sur ses tétons qui se dressaient sous l’effet de la succion. Passant sa main dans mes cheveux, elle m’incitait tacitement à les dévorer de plus belle. Je la pilonnais désormais avec vigueur. La faisant reculer sur la table à coups de butoir, je me saisissais d’elle fermement pour redoubler mes assauts entre ses cuisses. Encourager par ses gémissements et ses mots explicites.
    
    - « Baise-moi… Oui baise-moi comme ça. Je te veux en moi… »
    
    En réponse, mes coups de rein redoublaient d’intensité, lui arrachant des cris qu’elle tentait vainement d’étouffer en m’embrassant. L’appréhension d’être surpris ou entendu n’ajoutait qu’à l’excitation.
    
    - « On va finir par se faire surprendre. » lui disais-je.
    
    - « Alors dépêche-toi de jouir en moi ! »
    
    - « Tu es sûre ? »
    
    - « Oui j’en ai envie ! »
    
    Elle ne se fit pas prier plus longtemps avant que, le souffle court, je ne jouisse en elle et qu’elle m’adresse un sourire emplit de satisfaction.
    
    - « C’est tellement bon de te sentir venir en moi. »
    
    Je ...
    ... l’embrassais pour toute réponse.
    
    On se rhabilla prestement. Reprenant un peu nos esprits et notre sens commun. On se savait pas quelle heure il était, ni si quelqu’un s’était avisé de notre absence. Je jetais un œil à ma montre prenant connaissance de l’heure tardive et de l’heure pleine qui avait couvert nos ébats. Si on remontait, il serait difficile de justifier cette longue parenthèse. Heureusement, nous étions visiblement seuls à notre retour. Sans plus attendre, je prenais mes affaires et me dirigeait vers la sortie tel un voleur. Elle avait également repris ses effets et elle me suivait. Afin d’éviter l’ascenseur (et des rencontres gênantes), je lui proposais d’opter pour les escaliers. A peine dans la cage, Je dévalais les premières marches, pressait de m’éloigner de cet endroit et des yeux indiscrets qui y résidaient. Je ne savais pas si on s’était aperçu de notre manège et dans quelle mesure, la machine à café ne serait pas le théâtre d’une nouvelle rumeur dès demain matin. Pris dans mes pensées, j’en fus tiré par sa voix. Je me retournais pour voir qu’elle s’était arrêté à mi-chemin.
    
    - « Viens ! » m’ordonna-t’elle.
    
    - « Quoi ? »
    
    - « Viens je te dis ! »
    
    Je remontais les quelques marches qui nous séparaient. Elle m’attrapa par le col.
    
    - « Prends-moi ! »
    
    - « Quoi ?! Ici ?! »
    
    - « Oui ! »
    
    - « T’es folle ? On va nous surprendre ! C’est sûr ! »
    
    - « Mais non ! Tout le monde est parti. »
    
    - « On n’en sait rien ! Non ! Viens ! On s’en va ! »
    
    - « On ...