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La stagiaire
Datte: 06/03/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: MarcoX, Source: Hds
Voilà déjà quelques mois que cela ne fonctionnait plus sexuellement parlant avec ma femme. Du coup, je me noyais peu à peu dans le travail, y investissant de plus en plus de temps et d’énergie. Au début, je n’avais pas remarqué cette nouvelle stagiaire qui pourtant me lançait régulièrement des regards appuyés. Tout commença par des questions qu’elle venait me poser sur mon travail, prétextant rencontrer des difficultés pour lesquelles, elle venait chercher des réponses disait-elle. Suite à quoi, elle ne ratait pas une occasion de saluer mon expérience et mon savoir-faire. Je mentirais si je disais que cela ne flattait pas mon égo. J’en avais conscience et à posteriori, elle aussi certainement. Elle se disait d’origine malgache. Elle avait la peau très brune et des lunettes soulignaient ses grands yeux noirs. C’était une belle femme, un peu ronde mais aux courbes harmonieuses. Je ne lui avais pas prêté attention à son arrivée mais au fur et à mesure de nos échanges, je n’avais pu ignorer son charme certain. Nous passions de plus en plus de temps ensemble. Chaque pause était l’occasion de nous retrouver et de discuter autour du travail dans un premier temps mais plus encore par la suite. Elle se confiait sur sa relation avec son petit copain qu’elle trouvait « peu satisfaisante » selon ses propres termes. Je ne savais pas ce qu’elle entendait par là et me bornant au rôle de confident, je ne cherchais pas à en savoir plus ou à obtenir des précisions sur sa pensée. Elle ...
... m’exprimait un certain mal-être et un manque de confiance en elle qu’elle n’arrivait pas à circonscrire malgré ses efforts. J’essayais de la rassurer sans trop en faire toutefois car je sentais bien que je jouais avec le feu. Sentant que nous dépassions allégrement au fil des jours le strict rapport professionnel, je décidais, peut-être un peu tardivement, d’établir une certaine distance entre nous. Je l’évitais à chaque fois que cela m’était possible ou je la renvoyais vers un ou une de mes collègues pour l’aider ou la former lorsqu’aucune autre solution ne s’offrait à moi. Je percevais le trouble que cela provoquait en elle, ne comprenant certainement pas ce revirement chez moi mais j’étais convaincu de faire le bon choix. Un soir que je finissais tardivement quelques travaux en suspens et que je me pensais presque seul, je levais les yeux pour la voir s’approcher de moi. Elle désirait me parler. Ne désirant pas offrir aux regards et aux oreilles indiscrètes de quoi alimenter les ragots, je lui proposais de nous isoler discrètement dans une des salles de réunion à l’étage inférieure. Nous franchissions à peine le séant qu’elle prenait l’initiative de se rapprocher de moi, progressivement mais rapidement. Je tentais bien une manœuvre pour me défiler mais elle se retrouvait déjà contre moi. - « Ce n’est pas une bonne idée ! » lui lançai-je. - « Pourquoi ? » m’interrogeait-elle levant son visage vers moi pour me percer de son regard. - « J’ai quelqu’un. Tu le ...