1. Macdo créoles


    Datte: 30/03/2018, Catégories: ffh, couleurs, gros(ses), grosseins, Auteur: Dread, Source: Revebebe

    J’étais tout seul au Macdo. Je mangeais tristement unbig mac en rêvassant, quand deux grosses blacks sont venues s’asseoir à la table juste à côté de moi en faisant un raffut du tonnerre. J’ai relevé la tête. Celle qui me faisait face était particulièrement épanouie et replète avec une poitrine maousse-costaud. Elle devait avoir environ la quarantaine. Plutôt jolie, avec sa peau café au lait uniformément pigmentée et ses cheveux tressés, et très à l’aise dans sa personne, l’Antillaise dans toute sa splendeur. Elle était dotée d’une paire de seins réellement énormes, une poitrine très large et débordante d’enthousiasme.
    
    Mais, question opulence, son vis-à-vis ne perdait rien au change car, même vu de derrière, on ne pouvait que remarquer ses hanches hyper-larges et son derrière mastoc.
    
    Deux grosses blacks donc, aussi grosses que blacks, divinement grosses et divinement blacks. Elles me rappelaient un peu Joséphine, une voisine martiniquaise qui avait peuplé durant de longues années mes fantasmes d’adolescent boutonneux et craintif. Joséphine ? Qu’était-elle devenue ? Cela faisait bien dix ans que je ne l’avais pas vue. J’avais toujours été fasciné par sa prestance.
    
    Les deux femmes riaient, elles gloussaient, elles parlaient fort, elles vociféraient, sans aucune gêne et sans considération pour leur entourage. Mais, de par leur dynamisme, elles restaient fort sympathiques.
    
    — Oh, dis donc, ma vieille, c’est pas possible des choses comme ça, tu devrais le lui faire ...
    ... payer (avec un fort accent antillais) ! C’est vraiment un grand démon.
    — C’est surtout un beau salopard. Je le déteste vraiment. Qu’il aille donc la retrouver, sa pétasse ! Si elle veut de lui, je le lui laisse et, si elle n’en veut pas, qu’il aille se faire foutre !
    — Tu ne l’aimes plus ?
    — Pffff, c’est un tchatcheur, un frimeur, un dragueur et un inutile, il m’a trop humiliée avec cette salope. T’as vu ça, le genre qu’elle se donne, en plus ? Une vraie petite pute manucurée ! Et t’as vu ça, les airs qu’elle se prend ? Madame la comtesse prout, prout, qui se la joue, qui se la pète. Elle est même pas jolie sous son maquillage de pouffe. La seule chose qu’elle sait faire, c’est ouvrir la bouche et écarter les cuisses.
    — Tu devrais lui arracher les yeux. Dix ans de mariage, tu ne vas pas laisser tomber, quand même !
    — Si tu en veux, prends-le, je te le donne. Moi c’est fini, je le déteste.
    — Mais enfin, je ne comprends pas, au début, vous étiez si bien ensemble !
    — Les trois premières années, peut-être. Et puis monsieur a commencé à faire le beau auprès de ces dames. Il voulait sortir, voir du pays, et au besoin découcher, collé serré contre des allumeuses… mais surtout pas rester avec sa femme à la maison. Et puis, tu as la mémoire courte, tu oublies la fois où il avait essayé de te draguer. Et encore, avec toi il devait faire gaffe car il savait que tu pouvais toujours parler. Mais avec les autres, tu crois qu’il se gênait ? Je lui ai pardonné une, deux, trois, dix fois… ...
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