Cauchemar ou presque… (4)
Datte: 05/03/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: dumont, Source: Xstory
... ma langue ne se rassasie pas de tes seins. J’en
veux encore, j’en veux plus. Ho ouiiiii… ton ventre, ton ventre rond, ton ventre lourd. Ce
bourrelet qui ceint ta taille d’un tendre coussin. Cette chaleur, quelle extraordinaire chaleur.
Je sens la vie, je sens l’envie. Je te sens te contracter quand ma langue joue avec ton
nombril, je te sens frémir quand je l’avale et le suce. Et comme tu frissonnes dès que mes
lèvres effleurent la lisière de ta culotte. Je te croyais effrontée et impudique, je te découvre
chatouilleuse et troublée à chaque nouvelle parcelle de peau que j’atteins.
Non laisse le encore, ce dernière rempart qui te préserve. Laisse- moi te guider sur le
lit, laisse- moi découvrir ces cuisses comme j’ai pu me repaître de ton ventre. Ces masses
rondes et laiteuses m’enserrent, m’emprisonnent. Je me perds en elles, me prélasse. Jusqu’à
tes pieds je te dévore, je te mange. Quelle étrange sensation que de retourner ton regard
alors que je suce chacun de tes orteils. Ton sourire, ma chaleur… Ho Mon Dieu. Laisse- moi
t’embrasser, longuement et fougueusement, tendrement et timidement. Nous langues
emmêlées, nos corps pressés. Non ne retiens pas mon visage, je n’en ai pas fini avec toi.
Non, je ne briserai notre baiser que pour t’en donner un autre, sur d’autres lèvres.
Où est- donc cette assurance, Marie, maintenant que tu caches ton visage alors que je
te débarrasse de ta culotte. Elle est où cette expérience si supérieur ...
... maintenant que tu
resserre tes cuisses pour me cacher cette intimité presque imberbe. Laisse- moi les retrouver
du bout de ma langue dardée, laisse- moi te questionner sur cette bouche qui suinte ton
désir. Hooooo mon amie, quel est donc ce feu qui me consume, cette fièvre moi qui n’est
jamais osé poser un oeil sur une autre femme. C’est qui cette chienne à quatre pattes entre
tes cuisses qui te lape, te lèche, étend sa bave sur ton pubis et ton entre- jambe ? Qui est
cette femme qui emplit la chambre des bruits mouillés de sa langue fouillant ta fente ?
Que m’as- tu fait Marie ? Comment m’as- tu transformée en cette furie qui frotte son
visage sur toute cette part de toi que je n’ai jamais pu croiser du regard ? Tes sécrétions
couvre tout mon visage, voile ma raison. Je te mange, je te bois, je m’enivre à ta source.
Chacune de tes réaction me guide, me dis où je dois allez, ce que je dois faire. Ton corps
m’explique ce que tu aimes, ce que tu veux. J’en oublie la connaissance de mon corps de
femme pour tout apprendre du tien.
Nous ne sommes plus que gémissements, soupires, râles. Au bout de ma langue tu te
contracte et te laisse aller. Je m’enfonce dans ton antre, revient sur ton clitoris. Je te baise
de ce sexe sorti de ma bouche et te caresse ensuite. Tu montes plus haut, tu montes plus
fort. De tes cuisses à ton pubis, partout j’enfouis mon visage, mon nez, ma langue. Partout je
me frotte et m’insinue jusqu’à me délecter ...