Cauchemar ou presque… (4)
Datte: 05/03/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: dumont, Source: Xstory
... elle ne sait pas trop comment réagir quand sa progéniture ne prend aucune
précaution pour masser, ensuite, le devant de mon fils. J’ai presque l’impression qu’elle va
lui ôter son maillot de bain mais non, elle sait respecter certaines limites. Tout de même !
Mais moi aussi je suis une garce et je m’en excuse juste après avoir fait remarqué à Marie
qu’elles ne semblent, ni elle ni sa fille, avoir de trace de bronzage en bas non plus… Marie
sent que je suis un peu nerveuse. Elle tente de me rassurer, ma gentille amie, mais je
redoute le reste de la soirée. Vont- ils me refaire le coup du bar tout à l’heure ? Vont- ils
trouver pire ? Au moins Marie sait tout ce qu’il y a à savoir et Justin ne pourra pas me
pousser à faire ce que je ne veux pas.
Mais elle ne compte pas s’arrête en si bon chemin la jeune fille . Bien sur que sa mère
accepte son massage, comment pourrait- elle refuser ? Et mes soupçons se renforcent quand
je vois comment mon amie réagit aux caresses de sa fille. Elle lutte la maman, elle combat,
se tend, mais je ressens intensément le plaisir qui l’embrase. La douceur des caresses se
mêle sûrement à l’impression d’exhibition et entre ses cuisses épaisses je vois poindre le film
luisant de son excitation non- dite. Et Isabelle sait exactement ce qu’elle veut. Comment
peut- elle être si impudique cette fillette à se secouer comme ça, à aller et venir sur le pubis
de sa mère alors qu’elle pétri les seins gonflés de sa ...
... propre mère ? Le pauvre Justin, il est
dans son coin, excité comme un jeune bouc, il n’ose même pas se caresser mais ne sait pas
comment camoufler cette tension dans son bas- ventre.
Et moi ? Hein ? Je peux parler. Mais quand la gamine s’attaque à mon dos, je la sens
la tension se nouer. Tu es une garce, une petite peste, je les sens tes mains frôler mon
maillot, je les sens tes doigts se faufiler brièvement sous le tissu élastique. Mon haut de
maillot ça fait longtemps que tu l’as dégrafé mais c’est le bas que tu convoites. Si nous étions
seules je me repaîtrais à nouveau de tes charmes de petite succube. Démone, tu sais
comment me rappeler nos ébats sans pour autant te montrer trop impudique.
Mais oui j’accepte de me retourner, tu croyais avoir le dessus, hein ? Mais non, je me
fiche que mon fils me scrute, me mate. Tu les aimes mes nichons, je le sais, ça doit te coûter
de ne pas les embrasser. Regarde- les ! Oui mes tétons bandent pour toi petite salope ! Je
suis excitée et j’en profite parce qu’avec ta mère à mes côté tu n’as plus la maîtrise de la
situation. Tu peux frotter ton minou sur mon pubis, tu ne m’arracheras rien de
plus que ce sourire entendu et ce feu qui illumine mon regard.
Marie, ne vois- tu rien ? Comment peux- tu jouer les mères de famille au regard
complaisant quand mon fils caresse sans vergogne la cuisse de ta fille ne s’arrêtant que
lorsque ses doigts ont bien pris l’empreinte de son conin ? Peut- ...