Contrainte 06 - La Terrasse
Datte: 05/03/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... trouvait trop gros par rapport à sa corpulence. Elle prit les deux verres donnant à Grégoire une noirceur d'entre jambes, se leva et entra dans le bar.
Ils étaient trois en érection à voir la touffe noire avec la culotte en dessous, image étrange. Elle avait un beau paquet de poils car depuis trois semaines, son mari lui interdisait de se raser. Alors ça poussait dru et ça s'étendait. Elle posa les verres sur le comptoir.
Le client à côté d'elle glissa un billet de 20 euros entre la peau et la culotte sur la cuisse.
- Attendez, dit le patron.
Il présentant deux petits verres à porto qu'il remplit au maximum.
- Prenez ça et n'en renversez pas!
Cette fois, elle devait utiliser ses deux mains, pas question de tremper ses doigts dans le liquide. La veste, enfin lâchée, laissa deux gros seins exploser d'une liberté qui prit toute la place en repoussant la veste bien à l'extérieur. Elle les sentit s'alourdir. Elle en piqua une rougeur, une de plus. Le barman apprécia.
Les tétons marquèrent Grégoire. Bien que les aréoles fussent petites, les bouts étaient très gros et très longs, rares. Ils durcirent encore sous un soleil d'avril qui ne suffisait pas à chauffer l'air. Elle posa les verres à table et reprit place.
- Mains sur la tête et... ta gueule, ordonna Grégoire en prenant le billet.
Dans la rue, en face, il y avait maintenant deux types qui regardaient, bras croisés. Ils étaient posés sur un appui de fenêtre. Le patron qui ne voulait pas d'un ...
... attroupement devant son établissement intervint.
- Rentrez s'il vous plaît, trop de monde dans la rue. Toi la fille, prends les verres.
Elle en fut soulagée et s'empressa de rentrer avec les boissons.
- Grégoire, prends mon pantalon, demanda-t-elle
Mais la réponse fut cinglante :
- Depuis quand tu donnes des ordres, bourgeoise puante? Tu crois que tu vas pouvoir te comporter comme avant, fier-cul, prétentieuse, orgueilleuse! Pose les verres sur cette table - il n'y avait que 4 tables à l'intérieur, dont une occupée - Reste debout! Mains sur la tête! Il s'enivrait d'un pouvoir qu'il n'avait jamais connu. Il trouvait grisant de mettre cette fille à ses pieds, à ses ordres, à ses envies. Pour une fois, il n'avait pas besoin de prendre soin de l'autre, pas besoin de marquer de l'attention, pas besoin de baratiner des conneries plus ou moins intelligentes. Non, rien de tout cela. Juste l'ordre, pur, dur, terriblement excitant.
Il s'assit à côté d'elle, but une délicieuse gorgée de porto et commença caresser une paire de fesses qui arrivaient juste à son visage. Elle tournait le dos à la vitrine et à la table occupée, elle faisait face au bar. Une main et très vite une seconde -- celle du client à table -- virent s'occuper des rondeurs arrière.
Le patron ferma le café mais laissa les rideaux ouverts. Les quatre prirent place autour d'elle, esclave nue dans l'arène des désirs masculins.
- Halte-là les mecs! Si vous voulez toucher, c'est 20 euros, 20 chacun, annonça ...