1. Contrainte 06 - La Terrasse


    Datte: 05/03/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... aucun millimètre de cellulite. Le cul devait être superbe car sa courbure tirait la veste qui laissait toutefois passer le bas d'une fesse au gré des pas. « Me demande si elle est épilée », s'interrogea l'un d'eux, la faute à la main protectrice.
    
    Tous retenaient leur respiration, en terrasse comme à l'intérieur. Tous savaient que quelque chose allait se passer. Tous en avaient une furieuse envie renforcée pas l'évidente honte vécue par la fille. Même le client qui entra et prit place à une table intérieure sembla suspendu au temps arrêté du café.
    
    Elle sortit, toujours avec la main droite posée sur sa culotte, toujours avec la main gauche tirant les côtés de la veste. Mais, elle n'avait plus rien sous cette veste! Son décolleté gonflait outrageusement deux lobes de chair pâle. Même le nouveau client exorbita ses yeux. Grégoire prit une énorme respiration, détourna le regard et se concentra au maximum pour éviter de tremper son pantalon.
    
    - S'il te plaît, dit-elle, excuse-moi... Je dois le faire. Finis ton verre et partons vite d'ici.
    
    - Eh... pas encore, j'ai commandé deux verres, je vais les chercher.
    
    - Il ne lui laissa pas le temps de réagir et fila au comptoir. Timide oui, volubile sûrement, mais sot pas du tout! Il commanda deux verres. Je vous les apporterai, dit le patron.
    
    - On... on va nous apporter les boissons... Je veux te dire, tu es vraiment très belle, très excitante. Tu sais, tu m'as toujours plu, déjà au boulot... Alors, si tu veux, si tu es ...
    ... seule, tu peux compter sur moi. Je pourrais t'aider et t'apporter beaucoup, t'aimer beaucoup
    
    - Je ne suis pas seule, tu l'auras remarqué non? Ecoute, ne me casse pas les pieds, ce n'est pas le moment. Et puis tu ne me plais pas, tu es trop timoré, baratineur. De toute façon, les hommes ne me plaisent pas, je les déteste. Et toi avec!
    
    Elle ne pouvait pas contenir sa rage. Le pauvre prenait pour le compte de tous les autres, pour le compte de Francis, pour le compte de son mari qui l'avait donnée aux ordres du vicieux. Deux verres remplacèrent les précédents et deux yeux fixèrent la poitrine sous une veste un peu relâchée. Grégoire accusa réception de la claque verbale et se rebiffa.
    
    - Tu prends les choses de haut maintenant que tu vis comme une bourgeoise! Tout ça parce que ton mec a du fric! J'ai bien vu, depuis le début, tu fais semblant de m'écouter. Tu peux craner mais ta vie me semble pas des plus faciles, non? Francis, c'est ça? C'est lui ton mec? Ton amant? T'attends le prochain SMS? Il va rappeler, c'est sûr, je le sens. Elle savait aussi que Francis boirait la coupe jusque la lie.
    
    « Vous avez reçu un message de Francis »
    
    Il attrapa le téléphone avant qu'elle n'ait pu le saisir.
    
    - Quel est ton code?... Oh putain!... T'es tombée sur un sacré zozo! L'encuuulé! Ouais, bien... Il apprécie ton cul celui-là! Tiens, vois ce qu'il a écrit!
    
    Il devenait vulgaire. Elle regretta de l'avoir agressé. Il n'était pour rien dans ses déboires. Elle avait accepté cette ...
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