La conquête - Histoires de Sexe

La conquête

... afin de relever celui-ci ; il avait accès librement à ses seins qu’il triturait tandis qu’il continuait comme un métronome à donner des coups profonds. Il la retourna face à lui, l’allongea sur la table, prit les deux pieds qu’il posa sur ses épaules, releva sa culotte à hauteur des cuisses et la pénétra de nouveau. Elle poussait des halètements réguliers. Il en profita pour titiller son clitoris, d’un mouvement lent, puis accélérant tout à coup.

— Je sentais que tu étais faite pour la baise.
— Pourquoi ?
— C’est comme ça. Certains hommes le sentent, et d’autres pas. Tu adores te faire mettre, et ton mari ne s’en rend même pas compte. À te voir, je savais que je te baiserais.
— Tu parles toujours aussi mal ?
— Non, je parle aux gens comme ils m’attendent. Toi, tu aimes qu’on te parle mal. T’as pas l’habitude. Mais ça te fait mouiller qu’on te respecte pas.
— Tu exagères…
— Non. C’est plus fort que toi. Ton mari te respecte parce que tu es la mère de tes enfants, il a tort. Toi, tu veux qu’on te baise.
— Arrête de me parler comme ça.
— ...

... Alors arrête de mouiller comme une salope. Allez, agenouille-toi. Tu m’as énervé, je vais me finir dans ta bouche.

Elle lui obéit, se mit à genoux et ouvrit la bouche en rond. Il la pénétra et se masturba en elle. Le jet de sperme sortit et alla se loger au fond de la bouche. Il resta encore quelques secondes, bien ancré ; il n’avait pas envie de bouger, se sentant bien.

— Lèche bien mon gland avant que je sorte.

Elle s’exécuta.

— C’est bien.

Il sortit enfin. Ne pas s’attarder.

— Bon il va falloir que tu y ailles, j’ai rendez-vous dans un quart d’heure.

Elle le regarda, interrogative.

— Sois là demain à la même heure. Là, je t’ai juste baisée vite fait pour me vider. Mais j’ai envie d’aller beaucoup plus loin avec toi. J’ai envie que tu sois chienne, j’ai envie de te posséder, de te prendre violemment. Je veux que tu rampes devant moi en me suppliant de te sodomiser. Je veux que tu sois disponible pour moi quand j’ai envie de toi. Sois tranquille, tu jouiras, encore et encore.
— Comment t’appelles-tu ?
— Julien.

[A suivre]