Quand Cupidon organise le hasard...
Datte: 03/03/2020,
Catégories:
fh,
fbi,
amour,
volupté,
pénétratio,
init,
ecriv_c,
Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe
... revenir et lui jette un coup d’oeil. Elle est restée habillée ; il est vrai que son avion peut être prêt à tout moment. Valse hésitation de sa part…
— Euh ! Je prends l’autre lit ? murmure-t-elle.
Je ne bouge pas et fais semblant d’être très intéressé par ce que je lis.
— Ben oui… y en a pas d’autre ! dis-je simplement, à moins que tu veuilles changer…
Elle fait mine de se diriger vers « son » lit… mais s’arrête et s’assoit à côté de moi.
— Qu’est-ce que tu me fais ? souffle-t-elle, en m’enlevant doucement la revue des mains, depuis le temps on a des choses à se dire, non ?
Je la regarde, mes bras le long du corps. Ses yeux brillent, elle respire rapidement, sa poitrine gonfle le tee-shirt à chaque inspiration. La pénombre rend ses formes encore plus prononcées. Il faudrait être moine, et encore, pour rester insensible…
Doucement, je lui dis :
— Oui, des choses… rappelle-moi donc où nous en étions restés !
Elle soupire en secouant la tête.
— Monsieur veut sans doute que je le viole ! C’est pas vrai… tu ne m’aimes plus ?
J’explose :
— Mais que si ! Je me demandais pour toi…
Soudain son visage rayonne, ses lèvres se crispent, et elle se jette sur moi.
— Idiot ! me lance-t-elle en me mordant la bouche et en me forçant à l’embrasser.
En rampant elle remonte sur moi et me plaque sa poitrine sur la figure. J’ai le nez entre les deux seins que je sens à travers le tee-shirt.
— Enlève, enlève-le, enlève tout… gémit-elle en se soulevant ...
... en peu.
Tant bien que mal je l’en débarrasse, puis dégrafe le soutien-gorge.
J’ai, vraiment, la tête et le nez entre ses seins. De ses deux mains, elle les rapproche et murmure :
— Suce-les, mords-les, bois, mon bébé, bois…
Et j’ai droit à un massage mammaire en règle, tandis que je tente au passage de sucer et lécher ces superbes fruits. Très excitée, elle se dégage et entreprend de me déshabiller, de m’arracher les vêtements, devrais-je dire…
— Bouge pas, c’est moi… depuis le temps…
Elle me laisse le slip, évitant de regarder par là. Elle se lève, se débarrasse de son jean, et son string vole à travers la chambre. À nouveau elle plonge sur moi et me recouvre de tout son corps, soulevant un peu ses fesses pour ne pas écraser l’objet qui lui fait si peur… et qui pointe comme un fou vers le plafond !
Bouche contre bouche, elle souffle :
— Ah ! toi, toi… j’avais oublié ta chaleur, ton odeur, ta peau ! Et puis, mais qu’est-ce que c’est… ce truc qui me gêne, là ?
Et elle me donne des coups de reins, juste pour m’exciter davantage…
Je ris, lui embrasse doucement les lèvres, passe mes doigts dans ses cheveux.
— Ce truc, c’est un monstre qui fait peur aux petites filles ! C’est un méchant que tu énerves, attention !
— Ah ! oui, fait-elle en se relevant. Voyons ce monstre ! C’est un dragon, avec des ailes en écailles, qui crache le feu ?
Elle recule et s’assoit sur mes cuisses. Comme ça, les cheveux dans les yeux, le torse droit avec ses seins qui ...