La belle de la bibliothèque
Datte: 03/03/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
inconnu,
ascenseur,
école,
noculotte,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
occasion,
lieuxpubl,
Auteur: Louis Saturnin Thibaut, Source: Revebebe
... à autre chose et de diriger ma main vers son sexe. Je ne dirai pas qu’il est ruisselant, non. Mais moite, c’est certain, et je n’ai aucun mal à y faire rentrer mon majeur de quelques centimètres après avoir caressé son clitoris, faisant des petits cercles dessus.
Comme nous sommes debout, je n’arrive pas à m’introduire davantage en elle, ce qui est un peu frustrant. C’est si bon, j’ai envie de plus, de la posséder, de la faire mienne là, en cet instant. Mais trop tard, elle a son plan bien à elle, et la voilà qui s’accroupit, devinez pourquoi… C’est donc pendant qu’elle m’a en bouche, jouant de ses lèvres et de sa langue aussi bien que j’aie connu jusqu’à présent que, la voyant faire, jupe retroussée et accroupie, la vulve à l’air que je suis passé très près de jouir. Je m’imaginais derrière elle, la visitant avec un (ou plusieurs) de mes doigts. Heureusement pour moi que j’ai su me retenir, autrement nous aurions certainement dû nous arrêter là.
Je lui demande donc d’un ton impérieux :
— Viens m’embrasser.
Puis :
— Bouge pas… la capote…
Pendant ce temps, elle se lève, attend que j’aie enfilé le préso et plonge encore une fois son regard dans le mien. Il me semble qu’elle voudrait dire quelque chose, mais elle se contente de se mordre les lèvres, et dans un « hmmm », les pose à nouveau sur les miennes. J’en profite et fais durer ce moment pour me calmer un peu. J’ai le souffle court, et j’ai quand même l’intention de lui en faire vivre autant qu’elle m’en ...
... fait vivre.
Je prends mon courage à deux mains, et ma queue à une seule, et après un dernier baiser, je la laisse se retourner avant de la prendre. J’entends qu’elle a échappé un soupir, donc ne m’en veuillez pas si je m’enorgueillis une petit peu. Les va-et-vient commencent doucement. Je m’aperçois que je n’ai pas eu la présence d’esprit de faire à ses seins la politesse qu’il se doit, c’est pourquoi j’en profite pour dégrafer son soutien et je l’aide également à enlever son chemisier.
J’espère garder encore longtemps le souvenir de ses seins, leur forme, leur ampleur importante sans être exagérée, la sensation lorsque la pulpe de mes doigts passait sur ses tétons… Mais assez profité, je commençais à ralentir un peu trop mes mouvements et elle me rappelle à l’ordre en poussant en arrière avec son bassin. Et puis… Et puis tout s’amplifie, mes mouvements, les sensations, les bruits que nous faisons à la limite du discret ; je la prends par les hanches et à chaque mouvement l’un vers l’autre, chacun pousse pour que ça aille plus loin, plus fort, il faut jouir, il faut que nos sexes crient notre plaisir à notre place ! Elle se cambre, ce qui presse mon sexe contre la paroi du sien, et je jouis… ou plutôt nous jouissons, en tout cas si j’en crois les contractions ressenties par ma queue et qui ne venaient pas de moi.
Ensuite ? Ensuite on s’est simplement rhabillé… tout de même, ce n’est pas une tenue dans une bibliothèque ! Et puis quelques regards complices, quelques ...