Belle Epoque, un couple à part ! - Histoires de Sexe

Belle Epoque, un couple à part !

... déjà et prend le relais pour pistonner sa femme tel un métronome bien réglé, bien huilé… et très obéissant. Il accomplit sa besogne lentement, régulièrement et sans faiblir. Brigitte semble apprécier ce traitement au plus haut point et ses râles le confirment clairement. Autrement dit, elle chauffe sérieusement et aura bientôt besoin des « pompiers »… Je sais, trop facile, mais je n’ai pas pu résister !

À l’instant où Maurice accélère le rythme sans même le remarquer, Brigitte le stoppe net et lui dit sèchement :

— Arrête. Michel va prendre ta place ! Et toi, tu ne touches pas à ton sexe, ne te branle pas !

Maurice reprend sa place sur l’autre canapé et ne se retient que très difficilement. Pas besoin de prendre son sexe en main, je vois très nettement qu’il est à la limite de jouir sur l’épais tapis…

Ce premier jeu termine la troisième heure des ébats, la sonnerie de la pendule trônant sur une table basse dans le coin gauche de la bibliothèque nous ramène un instant dans la réalité du temps terrestre. Maurice et moi sommes maintenant au cinquième « relais », quand je reprends le « manche », Brigitte reste étonnamment silencieuse et immobile. Tous ses sens sont aux aguets et l’orgasme à quelques « poussées » seulement. Raison de plus pour ne pas ralentir mes va-et-vient ! C’est dans ces moments-là qu’il ne faut pas « mollir » et « durcir » le mouvement ! Oui, je sais, encore de « l’esprit » !

— Continue, continue comme ça et surtout ne t’arrête pas ! Ça va ...

... venir ! Oui, ouiiiii ! dit Brigitte nerveusement comme si elle avait peur de ne pas parvenir au septième ciel qu’elle avait déclaré sien cet après-midi.

Et en une fraction de seconde, son corps se raidit, d’un mouvement Brigitte plaque très fortement son bas-ventre contre le mien, nous scellant pour le feu d’artifice final. Mon pieu, pourtant bien planté au plus profond d’elle, est poussé hors de son vagin par un jet puissant et important de liquide qui m’éclabousse généreusement de l’abdomen jusqu’au torse. Maurice en est épargné… et je doute même de sa surprise, s’il y a ! Plusieurs spasmes moins violents et moins humides se suivent alors puis plus rien, Brigitte se détend progressivement et, visiblement satisfaite, ouvre, enfin, ses yeux.

— Bon sang, quel pied ! Maurice n’avait pas exagéré, j’espère que la suite sera toute aussi « explosive ».

Une femme-fontaine, je ne pensais pas en rencontrer une un jour. J’en ai entendu parler et lu des articles à ce sujet, mais vivre « en live » ce type d’orgasme féminin et vraiment autre chose ! Rien ne vaut l’expérience… sur le terrain !

— À ton tour, maintenant, de te libérer de la pression, me dit-elle toujours avec ce sourire évocateur sur les lèvres et les yeux pétillant de malice. Viens t’asseoir à côté de moi.

Elle tapote de sa main sur le coussin du canapé tout près d’elle à sa gauche. Je m’exécute et m’assieds exactement à l’endroit indiqué. Brigitte pivote légèrement vers moi et se laisse glisser sur le tapis, ...