1. Le thérapeute


    Datte: 03/03/2020, Catégories: fh, hplusag, extracon, médical, hdomine, initfh, extraconj, fsoumisah, Auteur: Alteregaux, Source: Revebebe

    ... moelleux. Je ne constate aucune anomalie physiologique.
    
    Il enduisit son anus de ses sécrétions intimes et le força avec un doigt. Il poursuivit son travail d’élargissement sur ses deux orifices pendant que Sandrine se tortillait sous ses caresses.
    
    — Votre anus accepte sans difficulté la dilatation : rien ne s’oppose physiologiquement à ce que vous soyez sodomisée. Je constate que vos deux orifices sont disponibles et vous êtes complètement ouverte. Vous sentez-vous désormais disposée à être pénétrée ?
    — Ouuiii… gémit mon épouse.
    — Vous vous sentez prête à être prise ? Quel orifice m’offrez-vous : le sexe ou l’anus ?
    — Non, pas l’anus, s’il vous plaît ; le sexe…
    — Bien. Mais avant que ne retombe votre excitation, je veux vous faire goûter la jouissance. Venez vous installer sur le fauteuil gynécologique, je vais approfondir cet examen.
    
    Sandrine, rouge de confusion, se leva tremblante avec l’aide du médecin, s’avança vers le fauteuil et s’installa les cuisses serrées. Il saisit ses chevilles et les plaça dans les étriers. Il les déploya au maximum et elle se retrouva les jambes en l’air, très largement écartées. Dans cette position, elle dévoilait entièrement son intimité, du pubis jusqu’au plissement de son anus, exhibant son entrecuisse inondé.
    
    Il posa ses doigts sur son pubis, écarta les lèvres intimes pour ouvrir son sexe. Il décalotta son clitoris et se mit à le caresser avec le pouce. Il introduisit lentement son majeur dans son vagin.
    
    — Je constate ...
    ... depuis tout à l’heure que vous n’avez aucun problème de lubrification vaginale : votre sexe est trempé et admirablement bien lubrifié. Appréciez-vous que je vous touche de cette manière ?
    
    Sandrine ressentait une vague de chaleur et d’excitation parcourir tout son corps, un séisme dont l’épicentre était situé entre ses cuisses.
    
    — Oui… Oui, c’est agréable… !
    — Est-ce que vous vous masturbez, habituellement ? demanda l’homme en poursuivant ses caresses
    — Habituellement, je… je n’aime pas tr… trop, répondit mon épouse surexcitée.
    — Connaissez-vous l’emplacement de la zone la plus érogène de votre vagin que l’on appelle souvent le point G ? demanda le médecin.
    
    L’homme introduisit plusieurs doigts qu’il fit coulisser dans sa chatte. De l’autre main, il se mit à lui pétrir les seins et à lui pincer les tétons. Sandrine, les cuisses écartées, commençait à se tortiller sur le fauteuil. Le sexologue lui branlait le sexe de plus en plus rapidement ; il lui pressait et malaxait la poitrine en même temps. Elle haletait bruyamment et sentait le plaisir la submerger. Un doigt lubrifié quitta son vagin et pénétra son anus. Elle cria.
    
    L’homme poursuivait sa masturbation simultanément dans son sexe et son rectum. Elle jouit en gémissant, arrosant la main de son branleur de giclées de cyprine.
    
    Le feu se calma, son souffle reprit un rythme normal. Les joues en feu, elle croisa le regard du sexologue qui souriait.
    
    — Bonne nouvelle : vous n’êtes pas frigide. Vous êtes même ...
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