1. comme promis... (2)


    Datte: 02/03/2020, Catégories: Hétéro Auteur: martmyst33, Source: Xstory

    La suite de nos échanges avec L. Une nuit, j’ai eu droit à quelque chose que l’on ne m’avait jamais fait : un analungus : J’étais nu sur son lit allongé sur le dos, profitant de ses caresses et de sa langue experte. Elle jouait avec mon sexe puis descendit sur mes testicules, les suçant et les gobant et les léchant. Machinalement, j’écartais les jambes afin qu’elle puisse "prendre en main" mon scrutum. C’est alors qu’elle commença à caresser mon petit trou. La surprise fit très vite place au plaisir et j’écartais encore plus les jambes lorsqu’elle y plaça sa langue. Elle me donna de légers coups de langue, puis c’est à grande lampée qu’elle s’occupa de mon cul, me fourra sa langue aussi loin qu’elle put. Cette nouvelle sensation fut incroyable, elle gémissait du plaisir qu’elle me procurait et moi, j’émettais des sons étranges...
    
    Au bout d’un moment, je la fis se relever et nous nous embrassâmes à pleine bouche, goûtant nos mélanges de culs, de sexe, de cyprine...
    
    Je la pris sauvagement et nous jouissâmes très vite dans une explosion des sens.
    
    A la suite de cette nuit, voici ce qu’elle m’écrivit :
    
    "Justement, je repensais à cette douceur que je t’ai faite et je dois avouer que j’ai trouvé cela fort savourant, fort excitant, fort enivrant...
    
    Je savais que j’aimais cela, mais j’ignorais que j’en jouirais autant que toi. Ce souvenir m’a donné bien des idées et j’attends patiemment de saisir ce cul que tu as si doux pour me délecter de quelques imaginations ...
    ... cocasses. Pour peu que je t’attache savamment, pour faire de toi ce que bon me semblera, je crains de ne pouvoir te laisser partir et de te faire subir la folie de mes envies...
    
    Rien qu’en énumérant l’éventualité, je ne peux le cacher: je suis terriblement enjouée. Un large sourire témoigne des tensions de mon corps et mon entrejambe frémit à m’en faire saliver. Je dois veiller à rester discrète: je suis à la terrasse de mon café. Seule la paille plastifiée des chaises connaît les délectations de mon esprit. Elles gardent, pour certaines, le souvenir de bien des orgasmes que j’ai produit en des instants où la coquinerie me prit.
    
    Je commence à rougir en t’imaginant à ma merci, ivre de désirs, soumis à mes caprices. Oh que j’ai hâte de te faire trembler, suer, de te lécher, sucer, croquer, griffer, de jouir de ta vulnérabilité avec tendresse, une diabolique tendresse...
    
    Ce ne sera plus moi qui garderai la marque de tes doigts gravée dans la chair. Sais-tu que la combinaison de cuir est un des petits plaisirs que j’aimerai tant mettre en pratique ? Le crissement de cette peau sous les impulsions de mes déhanchés titille mes sens et risque de faire de moi une furie affamée. (Voilà que mes voisins de tablée me regardent du coin de l’œil, suspicieux et intrigués ; je dois suer le désir, les regards de certains hommes brillent en croisant le mien) Je ne pense pas que le fouet ou le martinet soit nécessaire, sauf si cela pourrait te plaire. Mais je pense que des liens de satins ...
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