1. Coup de chaleur dès le matin à l'hôtel


    Datte: 02/03/2020, Catégories: h, fhh, grp, fbi, hbi, inconnu, voisins, vacances, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, double, Partouze / Groupe échange, confession, Auteur: Tembol La Rochelle, Source: Revebebe

    ... frénétiquement Claire sur le sujet, pour n’obtenir que des réponses évasives :
    
    — Ben oui, des clients me l’ont dit. Je suis allée voir dans le couloir des deux étages, mais je n’ai rien vu et n’ai rien entendu. Tu ne crois pas que j’ai ouvert les portes pour voir ce qui se passe dans les chambres, tout de même ?
    
    C’était irréfutable, mais aussi d’une certaine mauvaise foi. En pensant à ce qui s’était passé durant la nuit dans une chambre inoccupée avec vue « là où ça se passait », Claire recommença à mouiller le siège de son petit bureau. Martine se pencha alors sur le bureau puis observa Claire. Ceci l’amusait beaucoup car il était évident que ce genre de conversation l’excitait aussi, comme « ça ne se fait pas » (du tout !) durant les heures de travail. Mal à l’aise, Claire croisa ses jambes sous les yeux de Martine qui matait ses cuisses comme aucun homme n’oserait le faire. Cette fois Martine réussit à voir que sa collègue ne portait pas de culotte et l’humidité visible entre ses cuisses s’expliquait naturellement.
    
    — Avoue que ça t’excite, d’imaginer ce que font les clients dans les chambres ?
    
    En fait, ça l’excitait et elle aussi commençait à mouiller son entrecuisse…
    
    — Je crois que tu devrais te mêler de tes fesses et ne pas profiter comme ça de l’absence des patrons. Non ? Tu n’es aussi qu’une petite obsédée…
    — Comment ça, aussi ?
    
    Martine essayait de s’engouffrer dans une brèche, mais d’autres clients venaient de descendre, il fallait les servir. ...
    ... Claire se sentait à la fois gênée et excitée. Dès qu’elle devait se lever tout le monde observait ses cuisses nues et humides avec attention. Il faisait encore plus chaud que la veille et cela rendait l’atmosphère réellement torride, d’autant plus que tout le monde était vêtu aussi léger que permis.
    
    Le plus difficile fut de nettoyer discrètement sa chaise une fois de plus et Claire fut par quatre fois obligée de s’éclipser aux toilettes, pour s’essuyer entre les cuisses avec des mouchoirs en papier. Jamais elle ne s’était sentie autant excitée. N’y tenant plus, elle sortit dans le petit jardin pour téléphoner avec son mobile à son copain Lindor et le faire venir au plus tôt. Au chômage, il était facilement disponible n’importe quand, « à la demande ». Ce ne serait d’ailleurs pas la première fois que Claire le recevrait à l’hôtel durant les heures de travail. En effet il leur arrivait de « tirer un coup » dans la petite chambre de Claire et parfois même en été dans le jardin, au risque d’être vus, car ça les excitait encore plus.
    
    Elle décida de passer la vitesse supérieure, c’est-à-dire lui montrer ce qui se passait dans certaines chambres, à commencer par celle où deux clients l’avaient prise en sandwich la veille au soir. Il était évident que ça exciterait sauvagement Lindor car par nature, il était encore plus voyeur qu’elle. Il arriva quand Virginie et Martine commençaient à faire le ménage dans toutes les chambres. Il était déjà 10 h et la seule chambre encore occupée ...