1. La Gestionnaire (13)


    Datte: 01/03/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... salle de réception. Des salons d’attente sont installés. Déjà de nombreux salons sont occupés. Nous nous installons dans un salon, près de la fenêtre qui donne sur le jardin. Mes deux compagnes s’assoient dans les fauteuils. Ils sont profonds et elles disparaissent presque entièrement dans le cuir fauve. J’en profite pour les interroger sur leur présence dans cette soirée.
    
    — Comment vous prénommez-vous ?
    
    La jeune femme blonde qui s’est levée la première me répond :
    
    — Je m’appelle Andréa et je suis tchèque, elle, c’est Nancy, et elle est Irlandaise...
    
    — Je me doutais de sa nationalité, vu la couleur de ses cheveux... mais pourquoi c’est toujours vous qui parler ?
    
    — Nancy est très timide, alors je me dévoue...
    
    — Ce n’a pas l’air d’être une trop grande corvée...
    
    — Ne vous moquez pas de moi...
    
    Je les observe. Elles sont vêtues d’une tunique identique. La ceinture est large de deux doigts. De la ceinture au niveau de hanches, part une bande de cinq centimètres de large qui croise devant le cou et revient sur l’autre hanche. La bande de tissu cache donc chaque sein, enfin dans le cas d’Andréa, une grande partie de ses seins est visible. Sous la ceinture, le paysage est très agréable. La jupe se réduit à deux pas de tissu, l’un devant et l’autre derrière. Mais ces deux panneaux ne sont pas jointifs. Il manque environ dix centimètres. Je peux ainsi constater qu’elles ont, toutes les deux de jolies cuisses et qu’elles ne portent pas de slip.
    
    Andréa est ...
    ... grande, fine et longue. Sa poitrine est presque disproportionnée. Deux obus tendent le tissu. Les pointes de ses seins sont moulées par le tissu. Ses cuisses sont musclées, mais fines.
    
    Nancy est aussi grande mais plus charpentée. Ses seins sont comme deux demi-pamplemousses. Ils ne bougent pas et ses tétons sont gros comme des petits pois. Ses cuisses sont elles aussi couvertes de taches de son. Je les interroge :
    
    — Comment êtes-vous arrivées dans cette soirée ?
    
    Andréa prend aussitôt la parole. Nancy regarde ses genoux serrés. Elle a l’air apeuré.
    
    — Voilà, nous sommes étudiantes en faculté. Nous sommes en doctorat de sciences humaines. Nous logeons dans un petit appartement dans la banlieue proche. Mais c’est très cher pour des étudiantes étrangères. Alors nous participons régulièrement à des défilés de présentations de vêtements dans des petites villes de province. Les plus osés vont jusqu’au défilé de lingerie. Mais la semaine dernière, nous avons reçu les impôts locaux. Nous ne pouvons pas débourser la somme. Il y a quelques semaines nous avons été contactées par une personne. Nous pouvions gagner de quoi ne plus avoir de soucis jusqu’à la fin de l’année. Nous avons dit oui et nous sommes là ce soir. Dès que nous sommes arrivées, nous avons vu dans quel guêpier nous nous étions mises. Mais nous avions reçu un acompte et malheureusement, nous l’avons déjà entamé. Impossible de faire machine arrière ! Nous sommes obligées de tenir nos engagements. Voilà vous savez ...
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