1. La Gestionnaire (13)


    Datte: 01/03/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... désordonnés. Elle feule, gémit... elle est bouche grande ouverte. Sa respiration est bloquée... je la sens fondre, accueillir ma queue...
    
    — Vide-toi en moi... donne-moi ton sperme ta semence...
    
    L’orgasme arrive violent, puissant, presque dévastateur... elle pousse un hurlement étonnant de la part d’un petit bout de femme comme elle... elle est tétanisée. Je ne me retiens pas et me vide à longues giclées de semence. Son sexe se referme sur ma queue comme si elle souhaite en extraire toute la moelle... puis elle retombe, flasque et pendante accrochée comme un pantin de son à la barre d’écartement. Je laisse mon sexe se relâcher et diminuer de volume. Une jeune femme arrive avec une cuvette et de l’eau chaude pour nous laver. Une fois ces ablutions faites je range mon matériel et retourne dans la salle. Les femmes sont dans des tenues plus qu’osées. Certaines sont entièrement nues, d’autres dépoitraillées, d’autres n’ont plus de jupe. Elles se branlent ou profitent des mains, des bouches ou des queues de leurs voisins. Les appariteurs détachent Carole. Il lui faut quelques instants pour reprendre conscience et son équilibre. Elle descend de l’estrade. Elle marche sur un nuage, les yeux dans le vague, euphorique, béate.
    
    Marc s’approche d’elle pour l’embrasser. Elle le repousse.
    
    — Je n’ai plus envie de toi... j’ai ...
    ... trouvé mon Maître...
    
    Elle se dirige vers moi et m’enlace de ses bras et me roule un patin de tous les diables...
    
    — Je veux être ta soumise...
    
    — Ne prends pas de décision à la légère Carole, réfléchis quelque temps...
    
    — C’est tout réfléchi... je te veux comme Maître, comme éducateur... fais de moi ce que tu veux... je serais à tes côtés toute la soirée...
    
    Je ne lui dis rien. Les appariteurs ont descendu les cages d’où mes deux donzelles ont assisté au spectacle. Nancy est libérée la première. Elle vient vers moi et m’embrasse sur la bouche.
    
    — Salaud, je n’ai pas pu me branler, j’ai cru mourir... quand pourras-tu me satisfaire ?
    
    — Je ne sais... plus tard...
    
    Je n’ai pas terminé ma phrase qu’une furie arrive. Elle est déjà à genoux. Elle s’attaque à mon pantalon. C’est Andréa...
    
    — J’ai envie de te sucer, espèce de salaud... je n’ai pas pu me branler... j’ai très envie...
    
    — Je la relève. Sois patiente, tu y auras droit toi aussi...
    
    Pierre Arnaud m’accoste :
    
    — Toutes mes félicitations, cher ami, votre prestation est de très grande qualité... je comprends notre petite Carole...
    
    Pierre-Arnaud s’adresse à l’assistance :
    
    — Chers amis, nous passons au salon afin de nous désaltérer et ensuite au clou du spectacle...
    
    Il s’approche de moi et me chuchote à l’oreille :
    
    — Ce sera votre surprise... 
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