1. La Gestionnaire (13)


    Datte: 01/03/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... se décontractent. Elles s’approchent, devancent le contact frais du cuir de la cravache. Aussitôt je recommence, sifflement et claquement. Un "deux" éructé plutôt que prononcé sort de la bouche tordue de la jeune femme. Avant qu’elle ne respire la cravache cingle à deux reprises. Si Carole n’était pas attachée par les poignets, elle se serait écroulée sur la moquette noire. Je passe le manche de la cravache entre ses fesses et agace les lèvres de son sexe.
    
    — Trois... Quatre
    
    — C’est bien Carole...
    
    — Je passe devant elle. Elle me regarde avec un regard suppliant. Je cingle son sexe.
    
    — Carole me fixe. Ses yeux sont plongés dans les miens et elle prononce de manière claire et forte :
    
    — Cinq...
    
    Elle est forte et fière. Elle veut me prouver qu’elle saura ne plus rien dire, ne plus crier. Je frappe de nouveau
    
    — Six...
    
    Nouveau coup...
    
    — Sept...
    
    Elle ne bronche plus. Elle se redresse au contraire. Elle tend son sexe vers la cravache. Elle demande, elle quémande les coups... Nouveau coup...
    
    — Huit...
    
    Carole me regarde. Elle me sourit. Je caresse ses seins. Une lueur d’inquiétude traverse son regard. Sa bravache m’amuse. Je lui souris. Elle continue de crâner. Je lui cingle la poitrine. Sa poitrine s’enfonce, elle recule pour tenter une protection. Ses seins se sont recouverts d’une fine pellicule de sueur. Ses tétons sont irrigués et se gorgent de sang. Un fin trait rouge sombre passe d’un sein à l’autre.
    
    — Neuf...
    
    Je tourne autour d’elle et ...
    ... reviens de l’autre côté. Elle me regarde. Avant qu’elle ne bouge, la cravache a frappé. Carole étouffe un gémissement.
    
    — Dix...
    
    Ses larmes ont délayé le maquillage de ses yeux. Mais elle me regarde toujours avec une fierté inconsciente... Je passe derrière elle. Je frotte le bout souple de la cravache de son sexe et remonte vers son anus. Les fesses se tendent, appellent la caresse. Elles se séparent et me font découvrir l’anus plissé. Je promène le manche tressé sur cette pastille offerte. Le cul ondule, mimant une copulation. Je retire l’objet de la convoitise anale. Le cul quémande encore cette caresse. C’est à ce moment que je frappe, la cravache à la verticale, bien entre les deux monts jumeaux. J’ai cherché à atteindre l’anus et la peau tendre de la raie des fesses. Carole pousse un cri de bête blessée. Un "dix" retentit dans la pièce. Elle a chaud. Son visage ruisselle de sueur et de larmes. Je prends ses cheveux mi-longs dans ma main. Je l’oblige à me fixer dans les yeux. J’approche mes lèvres des siennes. C’est elle qui se tend pour m’embrasser. Nos bouches s’épousent. Nos langues se touchent, se mêlent.
    
    J’arrête le baiser. Carole a les yeux fermés et me demande :
    
    — Encore, encore...
    
    — Tu veux encore des coups de cravache...
    
    — Oui, si c’est toi qui le fais...
    
    — Il faudra prendre rendez-vous chère amie...
    
    — Quand tu veux, comme tu veux, où tu veux...
    
    — Nous verrons cela plus tard...
    
    Je lui libère les chevilles en libérant les mousquetons ...
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