1. Jardinage


    Datte: 01/03/2020, Catégories: fh, fhh, hplusag, vengeance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, occasion, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... le cul, par deux queues bien en forme qui se parlent au travers cette fine paroi qui les sépare.
    
    C’est elle qui se tortille un instant, cherchant peut-être à minimiser la pression. Impossible, chaque mouvement ne peut que lui faire sentir combien elle est pleine de nous. Après tout, si elle regrette, c’est de sa faute et par son initiative. Moi, en tout cas, je trouve cette expérience stimulante et alors que je pensais que les deux hommes qui prennent en sandwich une femme, cherchent à rivaliser, ce n’est pas vrai.
    
    Son mari ne doit pas être bien loin, car je sens sa respiration sur mon visage. Le noir est total et je le regrette maintenant. J’aurais aimé voir leur visage, aussi bien elle que lui. On apprend beaucoup de choses par le regard, un sourire, un rictus. Mais Léa en a décidé autrement. Pourquoi nous cacher les uns aux autres ? La honte ? Me cacher à son mari, moi l’amant qui pourrait être son père ? Par vice ou par la perversité de pouvoir imaginer d’autres amants qui s’activent ?
    
    Qui s’activent ! À propos de bouger, c’est lui qui s’y colle. Léa, plaquée contre moi, bloquée par mes bras autour de sa taille, est secouée par l’ardeur de son mari. Il l’encule tel un forcené qui doit aller prendre un train. Mais on sait bien que c’est l’envie, la bestialité sous-jacente à l’acte d’amour, qui le propulse si fort. Moi aussi, bien sûr, je suis aux premières loges. À chaque retrait, ma queue retrouve un peu d’espace, mais c’est pour être encore plus étouffée ...
    ... lorsqu’il l’encule à fond. C’est bon, un peu comme si on me branlait dans un fourreau soyeux, tendre et humide.
    
    Dix fois, vingt fois, cent fois, il la bourre. Léa ne cesse de gémir. Chaque avancée est un petit cri, chaque reculade, un regret. Sa bouche toujours collée à la mienne est un réceptacle de son plaisir. Je ne sais si elle a un orgasme mais en tout cas elle a un plaisir fort.
    
    La jouissance est une libération. Son sperme facilite ses dernières poussées. Maintenant il glisse dans sa liqueur et petit à petit son sexe fond. La pression est plus faible. Enfin, il se retire. Léa devient plus légère sur moi. Elle peut se redresser et aussitôt me chevauche. Il lui faut conclure, aller chercher cet orgasme que son mari a mis en branle. Il ne lui faut pas bien longtemps pour se baiser et couler. Il était temps, je ne peux plus me retenir et moi aussi je balance ma purée.
    
    Ah que j’aimerais pouvoir regarder mon jus couler hors du vagin et aller se mêler à celui du mari pour former un torrent et inonder notre maîtresse ! Mais tout a une fin. Aux mouvements du lit, je pense que mari et femme sont maintenant allongés à côté de moi.
    
    Au loin une horloge sonne quatre heures. Il faut que je rentre. Je me lève. Dans le noir je tâtonne. Derrière moi une présence. Au bas de l’escalier une lampe s’éclaire. Léa est avec moi. Elle m’aide à retrouver mes vêtements. Sans un mot elle me regarde m’habiller. Arrivés à la porte elle vient m’embrasser. Un long baiser. J’ai le temps de ...