1. Jardinage


    Datte: 01/03/2020, Catégories: fh, fhh, hplusag, vengeance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, occasion, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... bonne direction. Un dernier mouvement et la minette est à portée. Je pousse et découvre les contours soyeux de son intimité. Les petites lèvres à peine plissées, la fente qui suinte déjà et le balancement des hanches me propose son bouton que je m’efforce d’aspirer pour le libérer de sa gangue.
    
    Que c’est bon ! Sucer et se faire sucer ! 69, position magique qui fournit à chacun le plaisir donné et le plaisir reçu. Léa bouge pour me proposer son petit trou, anus ourlé que je soupçonnais déjà la dernière fois, de ne plus être vierge, tant il semble se décontracter et même s’entrouvrir sous la poussée de ma langue. Son anus ! Mais ! Impossible ! Pas comme cela ! Si elle est sur moi et me pompe, il ne peut pas être là !
    
    Alors ?
    
    Qui ?
    
    C’est son mari qui me pompe ?
    
    Mais oui !
    
    Il n’y a pas d’autre possibilité. Léa n’est pas une contorsionniste qui pourrait, et encore, effectuer ce genre de figures. Donc son mari me suce et moi je suce sa femme.
    
    Après tout, ce n’est pas désagréable et l’obscurité rend possible ce que je n’aurais jamais accepté au grand jour. Il se débrouille plus que bien et ma queue vibre sous ses caresses. Il a une façon de caresser mes couilles qui me ravit. Je me laisse faire. Je me laisse aller, oubliant dans le noir l’étrangeté de la situation pour ne garder que les plaisirs.
    
    Léa m’écrase et frotte son intimité sur mon visage, utilisant mon nez comme une pointe qui excite son clito. Maintenant ma langue souligne son petit trou entrouvert ...
    ... et assoupli. Pour un peu je prendrais la tête de son mari entre mes mains pour qu’il me pompe profond et jouir dans sa gorge. Mais elle bouge et rampe vers mon ventre. Ma queue est abandonnée par le mari, chassé par les fesses de sa femme qui progresse.
    
    Le sexe humide m’engloutit si facilement que je n’en prends conscience que lorsque je bute au fond. Quelques mouvements de hanches et la position est parfaite. Je sens maintenant le poids de Léa qui vient sur moi, son souffle sur mon visage, ses seins qui s’écrasent sur ma poitrine.
    
    Elle reste immobile, semblant attendre quelque chose et puis elle se crispe avant de souffler comme une femme qui accouche. Je comprends lorsqu’une pression formidable s’applique sur mon sexe, un pieu qui avance, rampe se frotte, cherche à me chasser pour prendre ma place. Mais je suis bien enchâssé et Léa ne semble pas vouloir quitter la proie pour l’ombre. Manifestement son mari est en train de la pendre par derrière et le rêve de Léa est en plein accomplissement. Nos deux queues rivalisent mais c’est une compétition pour le plaisir.
    
    Une poussée brutale achève la possession et je ne sais pas lequel de nous deux, Léa ou moi avons été le plus surpris par l’avancée. Léa, tout de même, car le cri qu’elle a poussé s’est éteint entre mes lèvres et un instant j’ai eu peur que son baiser sauvage se transforme en morsure. Mais non, petit à petit tout redevient plus calme. Enfin, si ce n’est que la belle est prise et bien prise par le con et par ...