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Vacances en camion, foutre dans le fion (2)
Datte: 29/02/2020, Catégories: Trash, Auteur: Euryale, Source: Xstory
... à gémir, je m’imagine déjà Robert en train de me culbuter sur sa couche ; je l’imagine le coït violent. Ma queue se dresse et je me surprends à réclamer à haute voix le retour de mon tortionnaire. La porte s’ouvre. Robert est tout sourire, fier de m’avoir affamé. Je le supplie de venir m’enculer, mais il ressort. Je l’entends parler avec quelqu’un. Prévoit-il de me faire prendre aussi par un autre camionneur ? Oui ce serait une bonne idée, mais pourvu qu’ils se dépêchent. Enfin, Robert entre dans la cabine. Cabot lui file entre les pattes et vient me tourner autour. Il me donne des grands coups de langue sur la queue. Robert semble se déplacer au ralenti. Je le supplie. Il ferme les rideaux, se déshabille lentement et s’approche de moi. Chaque coup de langue du chien est une torture. Robert met du gel sur ses doigts et me caresse l’anus. ─ Je ne veux pas de préliminaires. Démonte-moi le cul ! Il enfile une capote et enduit sa queue de lubrifiant. Une fois derrière moi, il s’enfonce en un coup de reins jusqu’à la garde. Sa queue enfin dans mon cul et le froid du gel apaisent enfin ma faim de bite. J’ai joui aussitôt. Cabot lèche le foutre répandu. C’est la première fois que j’éjacule aussi vite. Mais j’ai toujours aussi faim. Maintenant Robert me ramone le fion. Je suis content de prendre sa grosse verge en entier sans sourciller. Il m’a bien préparé effectivement. Je m’abandonne à ses va et vient. Il me saisit par les hanches. À chaque fois il ressort puis ...
... s’enfonce d’un seul coup avec une aisance qui le ravit. La cadence ne faiblit pas. J’espère qu’il va pouvoir tenir encore longtemps parce que j’en raffole. Sa respiration se fait de plus en plus saccadée. Pour ne pas venir trop vite, à chaque fois qu’il ressort, il me gratifie d’une bonne fessée. Ça claque tellement fort que je me demande si quiconque passant à côté du camion n’entendrait pas le bruit. Me voilà encore plus excité. Il le remarque et me demande si je suis prêt à me faire tirer par un de ses collègues. Et comment que je veux ! Il m’abandonne pour ouvrir la porte. Comme je l’avais pensé, il avait prévu le coup, et le collègue attendait juste à côté. Robert revient vite à son poste et recommence son travail de sape. Guy me salue et commence à se mettre à l’aise. Il s’approche, face à moi. Sa main se referme sur ma queue qui commence à reprendre forme après mon éjaculation plus que précoce. Il me roule une pelle. Ça ne me plait pas plus que ça. Je sens à son haleine que c’est un fumeur. Heureusement, il n’insiste pas. Il se contente d’être devant moi, empêchant mon corps d’avancer à chaque coup de boutoir de Robert qui se déchaîne dans mon rectum. Il ne doit pas être loin de la jouissance : Guy glisse un préservatif sur sa bite. Je sens effectivement mon baiseur se contracter. Il doit décharger et c’est dommage de ne pas pouvoir sentir son foutre s’écouler en moi. Avec la préparation au gingembre de robert, j’aurais aimé être apaisé par ses giclées, mais ce n’est ...