1. Vacances en camion, foutre dans le fion (2)


    Datte: 29/02/2020, Catégories: Trash, Auteur: Euryale, Source: Xstory

    Pendant le repas, nous discutons sexe. Robert veut en savoir un peu plus sur moi, ce que j’aime, ce que j’aimerais, et ce que je ne veux pas. Une fois repus, il me fait grimper dans le camion et puisque je lui ai avoué être attiré par la soumission, il veut connaître mes limites. Je n’ai eu que des expériences soft et les rares fois où j’ai pratiqué, ce n’était qu’un jeu. Il me promet d’y aller en douceur et progressivement. À chaque fois j’aurai la possibilité d’arrêter si cela ne me convient pas.
    
    Il me déshabille et constate que mon corps est totalement glabre. Il semble apprécier. Il me passe des entraves en cuir autour des poignets et des chevilles. Il sort des cordes et me voilà immobilisé, les bras en l’air et les jambes bien écartées.
    
    ─ Je vais te préparer le cul. Je ne doute pas que tu veuilles te faire prendre mais après ça, tu seras excité comme tu l’as rarement été.
    
    Il est derrière moi et bien qu’essayant de tourner la tête pour apercevoir ce qu’il fait, je ne vois rien. Me voyant remuer, il me rassure. Il pose un couteau et je remue de plus belle.
    
    ─ Ne crains rien, j’ai fini et je ne te blesserai pas. Le couteau m’a juste servi à racler ce que je vais te glisser dans le cul.
    
    ─ Qu’est ce que tu vas mettre dans mon cul ?
    
    ─ Une racine de gingembre épluchée. Ça va te chauffer le cul.
    
    Il me frotte tout l’anus avec cette racine puis l’introduit petit à petit. Je suis un peu déçu par la taille, pas de quoi s’éclater la rondelle avec ça.
    
    ─ J’ai ...
    ... déjà pris des diamètres plus gros que ça, lui dis-je en montrant ma déception.
    
    ─ Je n’en doute pas. Mais le but de la manœuvre n’est pas de t’ouvrir le cul… c’est de faire de toi une petite chienne affamée.
    
    Je note l’expression « chienne ». Cela semble confirmer que le chien va faire partie du jeu. Rien qu’à cette idée je sens ma queue qui se déploie. Je me mords la lèvre inférieure.
    
    ─ Je vais faire la vaisselle et je m’occupe de toi à mon retour.
    
    Robert s’en va, accompagné de Cabot et je suis seul dans le camion à me demander ce qu’il va se passer. Je sens peu à peu mon cul qui chauffe et je commence à me tortiller dans tous les sens, en tout cas autant que les liens me le permettent. Je voudrais me doigter pour apaiser cette sensation. Je contracte mes sphincters. C’est terrible. J’ai envie de me faire baiser, de me faire démonter le cul. J’ai la sensation que mon anus est devenu un volcan. Je n’attends que le retour de Robert pour me faire tringler. Il me faut du foutre pour apaiser cette sensation de chaleur, de brûlure. Le salaud, je suis sûr qu’il a déjà fini la vaisselle et qu’il fait exprès de tarder à revenir. Pourtant en regardant l’heure sur le tableau de bord, il y a seulement quelques minutes qu’il est parti. Cela me semble une éternité. Je ferme les yeux. Je préfère ne pas voir défiler les minutes.
    
    La sensation de brûlure s’arrête, presque d’un coup. Par contre l’envie de n’être qu’un trou à remplir est toujours là. C’est même encore pire. Je me mets ...
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