Cueillette en forêt
Datte: 27/02/2020,
Catégories:
fh,
cocus,
forêt,
hgode,
hsodo,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Viona, Source: Revebebe
... proteste-t-elle pas ? Pourquoi son mari est-il si accueillant avec cet inconnu ? Et puis, la lumière se fait. Si je suis ignorante des subtilités du sexe, ce n’est pas au point de ne pas connaître le penchant de certains hommes pour le partage, pire : le plaisir dépravé de voir leur femme avec un autre homme. Candaulisme, cocu-content, voilà ce que je dois avoir sous les yeux.
Tout cela n’est-il qu’une mise en scène, un prétexte ? Sûrement, car le mari va s’asseoir un peu plus loin, laissant le champ libre à l’inconnu.
D’abord c’est le silence. Le seul bruit est celui du tissu, des boutons, de la ceinture, d’un zip qui siffle, de vêtements qui chutent sur la moquette. Autant dire, rien. Enfin rien pour tous, sauf pour Maryse qui ne peut qu’imaginer. L’homme s’avance. Elle frémit au premier contact. Les mains sont lourdes, envahissantes, possessives. Lady Chatterley a dû avoir la même sensation lorsque le rustre mais puissant garde-forestier l’a touchée la première fois.
Petit à petit, les mains se font plus douces. Elles explorent ce corps offert, ses rondeurs et ses courbes charmantes. Les tétons pointent lorsque les seins sont pressés et la bouche de l’homme virevolte de l’un à l’autre.
Maryse est aveugle mais pas bâillonnée et ce sont ses soupirs qui emplissent la chambre. Heureusement ils ont laissé la baie vitrée bien ouverte et je peux tout entendre.
Tout entendre mais aussi tout voir, le soleil illuminant la pièce de ses rayons couchants. Avant que ...
... l’homme ne plonge son visage entre les cuisses de la suppliciée, je peux remarquer que de la fente suinte des traces d’humeur. J’imagine, et cela m’excite que ce sont les coulures du sperme que son mari a abandonnées dans sa grotte, un peu plus tôt dans la forêt. Quelle perversité de faire lécher à un autre son propre jus. En tout cas, cela ne rebute pas l’homme qui lèche le minou avec délectation arrachant à la belle de nouveaux soupirs.
Maryse se cambre sous les caresses. C’est un très beau spectacle. Le mari n’en perd pas une miette. Son sexe est dressé entre ses cuisses. Ainsi c’est cela, le candaulisme. Étranges mœurs, mais quelle sensualité exacerbée. J’imagine que peu de maris sont capables de supporter cette vision.
Et encore, cela ne fait que commencer. L’homme abandonne la chatte pour ramper sur le lit et apporter sa queue à la bouche gourmande de la femme qui n’en attendait pas moins.
Voir sa femme se faire lécher est une chose. La voir la bouche pleine de la queue d’un autre est d’un autre niveau. Maryse s’applique. Ses lèvres enveloppent un dard qui s’enfonce dans sa gorge. Les gargouillis sont forts. La salive déborde et coule des lèvres. C’est à la fois érotique et choquant. Mon mari se faisait sucer mais jamais avec une telle possession. Je ne suis pas une voyeuse indifférente à ce que je vois. La scène m’excite. Pour un peu, si je n’étais en jean, je glisserais bien ma main vers mon bouton.
L’homme revient vers les cuisses de Maryse. La queue brille au ...