1. Cueillette en forêt


    Datte: 27/02/2020, Catégories: fh, cocus, forêt, hgode, hsodo, yeuxbandés, confession, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... bois, mais dès que je m’accroupis dessus, il se place tout naturellement. Mon anus résiste mais je le distrais en me caressant un peu le minou. C’est dur. Je vais renoncer mais dans un geste incontrôlé, je m’assois littéralement dessus. Le monstre est entré. J’ai parfaitement senti mon sphincter reprendre sa respiration en se contractant après le gros diamètre.
    
    Lentement je me redresse. Je constate toute étonnée que l’objet ne tombe pas. Il est bien calé en moi. Je suis debout, fais quelques pas. C’est une sensation étrange de l’avoir dans les fesses. Chaque mouvement le stimule, me stimule.
    
    Et la pierre ? Le plus drôle c’est que j’ai longtemps hésité sur sa couleur. Mais qui peut la voir ?
    
    Moi, si ! Je m’allonge sur le lit, relève les jambes face à la glace de l’armoire. Elle est bien là, tache rouge au milieu de mes fesses, preuve vivante de ce que j’ai dans le cul.
    
    Quelle position honteuse de se regarder le cul dans un miroir ! Et alors ! Je peux faire mieux, plus salope, plus perverse, petit jeu entre la bourgeoise et celle qui veut se libérer de sa chrysalide. Le gode rose est juste là. Je le lèche un peu pour le graisser. Il entre facilement dans mon minou bien que le plug fasse de la résistance. C’est bien la première fois que je suis prise par les deux trous. Je sursaute lorsque l’excroissance vibre sur mon petit bouton. Le reste ne se raconte pas. C’est la montée du plaisir. La jouissance qui vient. Les vibrations qui se propagent dans mes entailles par ...
    ... l’intermédiaire du plug.
    
    Il me faut un long moment pour revenir à la réalité. Le gode vibre encore, abandonné sur le lit. Je l’arrête.
    
    C’est la sonnerie du portail sur la rue qui me réveille. J’ai dû m’endormir. Le Cointreau n’y est pas étranger. Par la fenêtre je vois que c’est la voisine. J’entrouvre pour lui dire que j’arrive. Le temps de passer ma jupe et je vais dans l’entrée pour l’interphone. Elle entre.
    
    — Bonsoir.
    — Bonsoir.
    — J’ai eu votre message. C’est bien aimable d’avoir accepté de prendre mon paquet.
    — Oh, ce n’est rien. J’ai moi aussi reçu un colis, alors ! Venez, je l’ai posé dans le salon.
    
    Nous entrons. Le carton est sur la petite table et je vais le chercher. Je découvre alors que non seulement le mien est un peu plus loin, que le Cointreau traîne aussi, mais que les emballages de mes achats gisent sur le canapé. Le temps de me saisir du paquet et de me retourner, il est trop tard. Maryse est juste derrière moi et elle peut voir tout ce capharnaüm.
    
    Si le carton d’expédition est anonyme, les emballages affichent clairement des images de ce qu’ils contiennent. En un instant je vois que ma voisine appréhende la scène et je n’ai qu’une envie, c’est de me glisser dans un trou de souris.
    
    La honte. Me faire surprendre par une quasi-inconnue avec ce genre d’objets. Que va-t-elle penser de moi. Jamais je n’oserais affronter son regard.
    
    — Je vois que nous avons le même fournisseur.
    
    Il me faut un moment pour comprendre sa remarque. Fournisseur ...
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