Marie-Claude s'installe chez Bébert - Histoires de Sexe

Marie-Claude s'installe chez Bébert

... pénétrer, lui défoncer la chatte à grands coups de queue. Il connaît la puissance de son sexe et plus d’une femme en a profité et en a redemandé. Mais la gifle qu’il reçoit le fait redescendre de son nuage et il tombe sur le cul.

— Ben quoi, tu… Tu veux pas ? T’es toute mouillée et je bande comme jamais je n’ai bandé pour une femme. Alors quoi ?
— Ta gueule Bébert, c’est moi qui décide de mon corps et je le donne à qui je veux et quand je le veux. Donc, tu m’obéiras si tu veux me toucher. Quant à me baiser, il va te falloir être obéissant au-delà de ce que tu peux imaginer. Pour le moment, va te laver, tu pues le gasoil et la fumée et mets tous tes habits à laver. Mais d’abord sers-moi un coca bien frais avec des petits gâteaux. Vite.

Bébert a fait demi-tour et se rue dans la cuisine d’où il revient très vite avec un plateau chargé selon le souhait de Marie-Claude.

— Allez, va te laver et tâche de t’habiller comme il faut. Tu as un quart d’heure, pas plus. Si tu es en retard, gare à toi. Et coupe-toi les poils, je suis sûre qu’ils sont trop longs.

Bébert balbutie un « Oui Marie-Claude » et fonce vers la salle de bain où on entend l’eau de la douche couler, puis des ciseaux couper des poils et enfin un peigne coiffer des cheveux un peu rebelles. Puis, Bébert sort de la salle de bain pour aller dans sa chambre et s’habiller. Mais au fait, c’est quoi bien habillé ? Finalement, il opte pour une chemise blanche, un slip noir et un pantalon bleu, c’est sobre mais il ...

... pense que c’est bien. Puis, d’un pas rapide, il retourne au salon vers Marie-Claude qui l’attend debout, les bras croisés.

— Tu as trois minutes de retard, ça mérite une punition. Enlève ton pantalon.

Bébert, surpris, s’exécute sans un mot.

— Tourne-toi.

Ce qu’il fait en hésitant un peu.

Marie-Claude s’empare d’une cravache qui traînait dans le salon, souvenir du temps où Bébert faisait du cheval. Elle commence à frapper les fesses de Bébert avec des petits coups car elle est débutante elle aussi dans ce nouveau jeu. Puis, elle augmente la force des coups pour finir avec un très fort. Ce dernier coup fait sursauter Bébert qui pousse un cri et il se retourne pour gifler Marie-Claude mais un nouveau coup de cravache sur sa cuisse gauche le stoppe immédiatement.

— À genoux, hurle Marie-Claude. Petit salopard, tu voulais me gifler.
— Excuse-moi Marie-Claude, un mauvais réflexe. Je ne le ferai plus, mais tu m’as vraiment fait mal.
— Écoute-moi bien, à partir de maintenant, c’est moi qui commande et toi, tu obéis. Tu seras à ma disposition pour mon plaisir et si tu te comportes bien, tu auras droit à un peu de plaisir. C’est compris ?
— Oui Marie-Claude je t’obéirai, mais s’il te plaît pas le fouet, j’ai horreur de ça.
— On verra, et maintenant va préparer à manger. Laisse ton pantalon ici, et mets un tablier, tu as de jolies fesses.

Bébert est parti à la cuisine et il ne sait pas s’il doit se réjouir de sa nouvelle situation ou s’il doit avoir peur. Il sait ...