1. Marie-Claude s'installe chez Bébert


    Datte: 26/02/2020, Catégories: f, h, hplusag, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, fouetfesse, Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe

    En entendant Marie-Claude descendre l’escalier, Bébert se retourne, un sourire de bienvenue aux lèvres, mais il s’arrête aussitôt et ouvre la bouche sans rien dire. Il est stupéfait par l’aspect de Marie-Claude.
    
    — C’est… C’est pas vrai, c’est bien toi Marie-Claude, tu es ma… magnifique, incroyable, tu es belle, que dis-je ? Non, tu es sublime. Jamais, je n’ai vu une aussi belle fille que toi. Vrai.
    
    En disant cela, il s’est approché de Marie-Claude pour la sentir, la toucher un peu. Mais la voix de Marie-Claude le fige sur place.
    
    — Reste où tu es, ne t’approche pas de moi ou tu reçois une gifle. Sers-moi plutôt à boire, un coca bien glacé.
    
    Bébert a baissé la tête.
    
    — Je n’en ai pas Marie-Claude, j’ai de la bière, du pastis, mais pas de truc américain.
    — Quoi, tu n’as pas de coca, va m’en chercher tout de suite.
    — Mais… !
    — Il n’y a pas de mais, va en chercher et prends-le frais sinon ce n’est pas la peine de revenir.
    
    Là, Marie-Claude sent qu’elle va trop loin, mais Bébert se retourne et part sans un mot. Marie-Claude entend la voiture démarrer et se jette sur le canapé en riant à gorge déployée. Ce Bébert est impayable, s’il avait rouspété voire plus, elle serait devenue chatte en chaleur mais là, c’est trop, elle ne peut qu’en profiter et elle va en profiter le plus possible.
    
    Un quart d’heure après, Bébert revient un pack de coca à la main avec un sourire triomphant.
    
    — Voilà mon ange, j’ai dû courir chez l’arabe du coin mais cette fois j’ai ton ...
    ... coca.
    — C’est pas du light au moins, j’ai horreur de ça.
    — Non non c’est du pur coca. Avec tous ses ingrédients.
    — Bon ça ira, allez sers-moi un verre.
    
    Et en disant cela, elle s’assoit sur le canapé, les cuisses légèrement écartées, son jean serré faisant ressortir son mont de Vénus, ce que ne manque pas de remarquer Bébert. Et son pantalon s’en ressent aussitôt. Marie-Claude s’amuse follement.
    
    — Passe-moi les biscuits, j’ai faim.
    — Voilà mon ange, tu es belle, et j’ai…
    — Ne rêve pas, c’est pas demain la veille que tu me sauteras. Un jour qui sait, mais en attendant qu’est-ce que tu as fait à manger.
    — Ah oui, ce soir poulet frites avec un vin rouge de première bourre. Tu m’en diras des nouvelles. Allez à table. Princesse à toi l’honneur.
    
    Marie-Claude se lève lentement en faisant bouger ses seins dont les bouts pointent, trahissant son excitation, ce qui ne passe pas inaperçu aux yeux de Bébert mais il sait que « pas touche ». Alors, il se masse doucement le sexe à travers le tissu du pantalon, ce qui n’est pas fait pour diminuer la bosse. Il suit Marie-Claude à la cuisine avec une forte envie de lui toucher les fesses, mais il ne fait rien. Il devient soumis à cette fille bien plus jeune que lui. Pas possible, il devient amoureux, cela ne peut pas s’expliquer autrement, sinon il lui aurait déjà sauté dessus ou foutue à la porte. Mais non, il obéit et ça lui plaît.
    
    Le repas se passe sans problème même si les seins de Marie-Claude occupent la plupart de ses ...
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