1. Le piège


    Datte: 29/03/2018, Catégories: fhh, couleurs, couple, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fsodo, fhhh, Auteur: Kristal, Source: Revebebe

    ... ma vulve bouillante avant de s’enfoncer lentement, profondément dans mon ventre en folie. Je me suis sentie distendue, écartelée centimètre après centimètre par cette possession gigantesque. Enfin son gland butta au fond de mon vagin et il s’immobilisa, m’emplissant totalement.
    
    J’étais comblée, pleine de cette chair dure et souple à la fois que je sentais vibrer doucement en moi. Toujours sans bouger, il maintenait mes hanches contre son ventre. Pourtant à cet instant j’ai cru suffoquer. J’ai abandonné le pieu que je dévorais et j’ai crié comme une folle… Au fond de mon ventre, le sexe monstrueux, immobile, était en train de grossir encore ! Je sentais palpiter et gonfler son gland légèrement rugueux, vivant comme un animal horrible qui se serait débattu au fond de moi. Il n’en finissait pas de m’investir, distendant mon sexe, écartant encore mes chairs, à la limite de la douleur… et de l’extase ! J’ai cru m’évanouir de plaisir dans un orgasme fou.
    
    Je me suis mise à hurler brusquement quand il a explosé en moi. De longs jets brûlants m’ont inondée en saccades. Il était d’une violence démentielle et ne semblait pas vouloir s’arrêter de me remplir de sa semence alors qu’il restait parfaitement immobile.
    
    À demi inconsciente, j’ai senti son pieu se retirer lentement mais ses mains serraient toujours mes hanches, me maintenant dans cette position affolante. Ouvrant les yeux, je vis mon violeur à côté de moi. Pourtant, les mains sur mes hanches… ? Le deuxième homme ! Les ...
    ... reins toujours offerts, j’ai à nouveau crié quand un sexe dur s’enfonça en moi puis se retira pour venir forcer mes reins, lentement, puissamment. La douleur s’est très vite transformée en une sensation folle. J’ai recommencé à me tordre sous ses poussées tandis que les mains du grand black prenaient une nouvelle fois possession de mes seins, douloureux à force de plaisir. Pilonnée au plus profond de mes reins, je vis avec stupéfaction le membre noir, qui avait déjà reprit des dimensions inquiétantes, s’approcher, frôler mes lèvres avant de forcer ma bouche que je lui ai donnée sans retenue. Violée ainsi, embrochée entre mes deux visiteurs, je me suis abandonnée en offrant une nouvelle fois mon corps à tous ces plaisirs, à tous les fantasmes des deux hommes qui explosèrent simultanément en longues et violentes giclées de semence âcre et brûlante, m’arrachant un nouvel orgasme démentiel. Si nos voisins n’ont pas entendu mes hurlements, c’est qu’ils sont sourds !
    
    Un peu plus tard, lorsque mon mari arriva, nous étions assis sagement tous les trois. Seuls peut-être de larges cernes sous mes yeux pouvaient laisser deviner nos occupations précédentes. Après avoir salué ses camarades, mon chéri m’embrassa tendrement et prit une bière dans le frigo. Il vint s’asseoir sur l’accoudoir de mon fauteuil. D’un bras, il entoura tendrement mes épaules, laissant sa main errer sur mon sein qui réagit immédiatement. En souriant il me demanda :
    
    — Alors, mon amour, comment s’est passé cet ...
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