Le piège
Datte: 29/03/2018,
Catégories:
fhh,
couleurs,
couple,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
fhhh,
Auteur: Kristal, Source: Revebebe
... rendis son sourire, tendis la joue au second, plus élancé, à la peau bistre.
— Qu’est ce qui vous amène ? demandai-je gentiment
— On passait par là et nous avons pensé dire bonjour, mais ton mari n’est pas là ? répondit le grand noir.
— Ce n’est pas grave, je vous offre un verre ? Avec cette chaleur c’est bien mérité. Et puis il ne devrait pas tarder à rentrer car il doit se changer pour une réunion en fin de journée.
Les ayant déjà reçus plusieurs fois avec mon mari, j’appréciais leur gentillesse, leur bonne humeur et leur joie de vivre. Cette visite inattendue ne pouvait donc que me réjouir, les longues journées sans mon amour me paraissant souvent interminables. Ils s’installèrent au salon, dans des fauteuils face à face. Je leur ai proposé du café ou des boissons fraîches. Optant pour le café, je suis partie à la cuisine. Je les entendais rire et parler gaiement tous les deux.
— Vous pouvez mettre un peu de musique criais-je, attendant que le café passe.
Quand je les ai rejoints, ils fumaient une cigarette, plaisantant toujours entre eux. J’ai posé le plateau sur la table basse, prenant la cafetière pour les servir. Penchée vers le noir, je remplis lentement la tasse. En me redressant je remarquai son regard, planté dans mon décolleté. Là, j’ai eu un long frisson en m’apercevant que je n’avais pas totalement refermé ma robe et qu’il venait de se régaler de la vision de mes seins nus. Loin de m’offusquer, j’ai ressenti tout de suite la même excitation que ...
... tout à l’heure sur ma pelouse… Seulement, cette fois, il s’agissait de camarades de mon mari qui ne pouvaient deviner que notre couple était aussi libre de corps et d’esprit. Qu’allaient-ils penser ? De toute façon, il était trop tard pour rectifier ma tenue et l’émoi qui commençait à brûler mon ventre me retint de le faire. Je servis donc son camarade qui, lui aussi, profita largement de mon décolleté, plus encore car, maintenant, les pointes de mes seins avaient durci et la vision que j’offrais ainsi devait être à la limite de l’érotisme. Comme dit souvent mon mari :
— C’est du pousse au viol !
Mais un viol consenti, ce n’est plus un viol et je me sentais soudain prête à bien des choses… Je me suis servie à mon tour et me suis assise dans le fauteuil resté libre entre eux. Tout en remuant mon café, j’eu l’impression qu’ils échangeaient un regard complice. La pensée que seuls deux ou trois boutons protégeaient mon corps nu de leurs regards eut pour effet d’humidifier mon entrejambes, d’amener de nouveaux frissons à parcourir mon ventre !
La conversation reprit. Ils plaisantaient tous les deux, moi, je riais franchement, m’amusant à cambrer mes reins pour faire saillir ma poitrine, je croisais et décroisais les jambes, ma robe avait déjà glissé très haut sur mes cuisses mais je faisais comme si je n’avais rien remarqué, leur offrant ainsi de quoi exciter largement leur libido.
Le noir me déshabillait maintenant littéralement du regard, je sentais monter en moi des ...