Science - à peine de - fiction
Datte: 25/02/2020,
Catégories:
fhh,
ffh,
couple,
cadeau,
boitenuit,
danser,
Oral
fsodo,
hdanus,
hgode,
sf,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... si agréable et érotique du piston qui la travaille. Mais aussi nos petits cris d’hommes qui apprécient. Mais encore – et pour moi le meilleur – celui de la gorge de ma femme qui me pompe, qui sous la pression de son amant se retrouve avec ma queue au plus profond de sa gorge et une salive si abondante qu’elle déglutit bruyamment.
Combien de temps avons-nous résisté ? Je ne sais pas. En tout cas, c’est moi qui suis venu le premier, excité par la sucette, mais aussi et surtout par la vision torride de ma femme entreprise par un autre. Mon foutre s’est mêlé à la salive, formant des filets et coulures dignes des chutes du Niagara. Après, Anne libérée de mon bâillon a pu réveiller les voisins jusqu’à ce que son amant lui jute sur les reins.
Le champagne n’est plus vraiment frais dans nos verres mais il est le bienvenu pour sceller cet instant mémorable. Nous prenons un repos bien mérité. Pas un mot. Personne n’ose parler de peur de briser le charme.
Marc et moi sommes assis sur le canapé mais Anne est restée assise sur ses talons à même le sol. La peur de tacher le tissu, sans doute, avec le sperme de son amant. Je vais lui proposer d’aller chercher une serviette, mais ma queue frémit à l’évocation du foutre de Marc sur les reins de ma femme. Doucement, elle bouge et se durcit. Anne, bien sûr, ne peut que la voir. Elle sourit, se penche vers moi et dit :
— Tu te souviens du film ?
Bien sûr, je m’en souviens. Elle vient de reproduire une des scènes. La suivante est… ...
... Bien sûr, mais va-t-elle oser ?
Sa bouche me lèche, me redonnant bien vite une vigueur de hardeur. De sa main, elle emprisonne le sexe de Marc et le branle pendant qu’elle me suce et…
John – Novembre 2055
Mon cher père a bien profité de son invention. Pendant de longs mois il a expérimenté toutes sortes de situations avec Anne. Cela fait drôle de lire ses écrits. C’est même dérangeant. Heureusement, ce n’est pas de ma mère qu’il s’agit.
Mais la vie a fini par lui jouer des tours.
D’abord, sa femme Anne l’a quitté pour rejoindre Marc. Ironie du destin, alors que c’est lui qui les avait réunis !
Ensuite, il s’est produit quelque chose que personne n’avait prévu, un bouleversement que quarante ans plus tard on a encore du mal à bien comprendre.
C’est parti d’un rien. Un jour, une femme a refusé d’être espionnée pendant qu’elle faisait ses courses. Et pour se défendre des caméras et de leur reconnaissance faciale, elle a imaginé se cacher le visage sous un très léger voile de tissu. Ce tissu, transparent mais mobile a suffi à la rendre opaque aux logiciels.
Un reportage à la télé et l’idée s’est répandue comme un feu de poudre. Certaines se sont mises à transformer ce petit bout de voile en une mode avec de nouveaux codes. Petit à petit, les modes vestimentaires ont évolué. On est passé de la femme libérée, heureuse de s’afficher –quelquefois même de façon indécente – à la femme libérée mais propriétaire de son corps et ne le révélant qu’à celui qui savait ...