1. COLLECTION BLACK. L’attaque (1/1)


    Datte: 25/02/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Il y a deux ans que John et moi habitons dans le quartier du Marais.
    
    John mon mari y possédait un atelier de peintre.
    
    Pas un peinte en bâtiment, mais un peintre sur toiles qu’il vend partout dans le monde.
    
    Avec lui j’ai visité le Japon, Tokyo, Yokohama.
    
    Il a même exposé à Hiroshima mais là j’ai moins aimé.
    
    L’Australie, principalement Sydney.
    
    Nous sommes allés voir les kangourous et la faune australienne.
    
    Chaque fois, ces étapes où nous sommes restés plusieurs semaines, m’ont permis d’apprendre les mœurs locales et les différences entre pays.
    
    Volontairement, je n’ai pas parlé de New York, c’est là où j’ai connu John, il est américain principalement de Houston au Texas.
    
    Il descend des esclaves noirs de ce pays, eh oui, John est un magnifique noir américain.
    
    C’est lors de mes études que la petite Frenchie a fait la connaissance de ce colosse aux mains longues et effilées qui m’ont séduite en premier.
    
    C’est dans une galerie de New York que je les ai vus et que j’en suis tombée amoureuse.
    
    La petite Française venait de trouver l’homme de sa vie.
    
    La galerie fermée, il m’a reconduit jusque chez moi, plutôt sur mon campus, au FIT université d’État qui enseigne les arts, la technologie, l’illustration.
    
    Mais nous ne sommes pas là pour parler de la Fashion Institute of Technology qui m’a permis d’aller voir les œuvres de ce peintre à la cote montante.
    
    Parfait gentleman il m’a déposé, mais m’invitant en fin de semaine à dîner avec lui.
    
    Je ...
    ... dois reconnaître que j’ai accepté à ce que nous nous embrassions sur les joues.
    
    Le samedi suivant, j’étais dans mes petits souliers.
    
    J’avais mis mes dessous les plus sexy, à 22 ans, je dois reconnaître que j’espérais que ce grand black me proposerait d’aller dans son hôtel, étant encore vierge.
    
    Dans les milieux parisiens et américains où j’avais vécu, les filles qui couchent, sont légions.
    
    Je n’ai pas été déçue, un peu apeurée quand j’ai senti dans ma main celle qui allait faire de moi une femme.
    
    Je savais que parmi ces hommes venus du Sud, ils y en avaient beaucoup qui avaient des engins que certaines pouvaient trouver démesurés, mais en saisir un pour la vierge que je fus aurait pu me faire fuir.
    
    Je n’en ai rien fait, il faut dire qu’il a été d’une douceur telle que la peur qui un instant a failli s’emparer de moi a vite été dissipée.
    
    Après ce premier contact, sachant où j’allais, j’avais assez fantasmé sur ce qui allait se passer et quand il m’a couché sur son lit, mes jambes tout naturellement se sont ouvertes.
    
    John savait qu’il avait affaire à une vierge malgré mon âge et a été d’une douceur toute relative vu la taille de l’engin qui m’a transpercé.
    
    J’ai eu mal quelques jours où il a su attendre que tout soit rentré dans l’ordre et la semaine suivante à quelques heures de repartir pour Houston, ce sont mes jambes qui ont entouré sa taille afin qu’il me fouille le plus profondément possible.
    
    La séparation fut rude le lendemain, mais je savais ...
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