Le concert
Datte: 24/02/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
cinéma,
entreseins,
facial,
Oral
Auteur: Claxton, Source: Revebebe
... quasi nudité sous la minirobe un peu trop mini à son goût à cet instant précis.
— Merci pour le bouquet, monsieur. Soyez gentil de le poser sur le canapé pour l’instant, demande t-elle.
Elle suit Gérard du regard. Celui-ci dépose délicatement le bouquet sur le divan. Il semble bien élevé mais Cécile a bien vu dans le miroir qu’il matait la cambrure de ses fesses quand il est entré. Rougissante, elle reprend la parole, en se tournant vers Gérard :
— Si vous pouviez me laisser, monsieur. Je croyais que c’était ma mère qui toquait, et je voudrais finir de me changer.
— Si vous me permettez, Cécile, j’ai vu que vous vous coiffiez, et je dois vous avouer que je trouve vos cheveux absolument magnifiques, dit Gérard en s’approchant encore. Prenez cela comme une supplique d’un pauvre terrien à la déesse que vous êtes, mais permettez-moi de vous coiffer.
Surprise, un brin amusée par le style et presque flattée, Cécile le jauge du regard silencieusement. Cet homme brun, athlétique, peut-être un peu plus jeune que sa mère, bien mis dans son costume de prix lui semble bien élevé, pas comme ces soudards qu’elle est bien obligée de fréquenter à la schola de Bâle, et qui ne cherchent qu’à la sauter comme la première prostituée venue. Gérard s’est approché tout près d’elle. Il se penche pour ramasser la brosse à cheveux tombée à terre.
— Tournez-vous, Cécile, face au miroir, ordonne-t-il.
La jeune fille s’exécute, les bras encore croisés sur ses seins, plaquant sa ...
... minirobe sur sa peau. N’empêche qu’on peut encore voir ses cuisses, les bas nylon, son dos nu et surtout son cul, le ruban fin du string qui émerge des deux globes charnus. Gérard essaye de ne pas trop y plonger son regard, mais la tentation est forte. Cécile a bien remarqué que les yeux de son visiteur impromptu glissent de temps en temps vers son postérieur affolant, mais la situation est bizarre, séduisante et dangereuse, et elle ne veut pas rompre le charme. Gérard s’est muni de la brosse à cheveux et il prend la chevelure de Cécile dans son autre main, la caressant lentement :
— Quelle douceur, Cécile !, dit-il en commençant à la coiffer.
— C’est gentil, remercie-t-elle en se laissant faire.
Gérard brosse les cheveux délicatement de la main gauche, et a posé la main droite sur l’épaule droite de la flûtiste, sur sa peau nue. Il sent une chaleur sourde dans son ventre ; il est excité, ému, ses sentiments sont mélangés. Cécile, les bras croisés, a sa main gauche posée sur son épaule droite, tout près de la main de Gérard. Leurs doigts se touchent presque. Sans bien savoir ce qu’elle fait, Cécile lève ses doigts et les repose doucement sur ceux de Gérard. Celui-ci, les yeux baissés, est en train de lorgner le cul de la musicienne, si beau, si lisse, si rebondi, et le string qui disparaît dans la raie ! La sensation des doigts posés sur lui, lui fait lever les yeux. Son regard croise celui de Cécile dans le miroir. Sans un mot, leurs doigts se joignent sur l’épaule de la ...