Nouvelles expériences
Datte: 23/02/2020,
Catégories:
f,
fépilée,
bizarre,
jardin,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
fist,
init,
Auteur: Anne désir, Source: Revebebe
... suis cachée derrière cette haie. Maintenant il fait grand jour, je vois des gens qui circulent à pied dans la rue. Si un passant s’approche de la grille, il me verra. De nombreuses personnes traversent maintenant le parc ; il doit être près de huit heures. Bientôt, les mères de famille viendront avec leurs enfants ! Il faut que je trouve quelque chose pour me couvrir.
Une idée : prendre des feuilles de roseaux, les tresser et m’en faire un vêtement. Tout d’abord arracher des feuilles sans se faire voir, rester à l’abri du mur. Seulement, il faut que je me lève pour attraper les feuilles. Je scrute la rue, me lève et en arrache une poignée : c’est bon, ça marche. Je suis sauvée, maintenant j’ai une solution. Je renouvelle l’opération maintes fois. Un coup de klaxon me fait sursauter. Je me retourne : un automobiliste arrêté en pleine rue m’observe ; je reste ainsi, figée par son regard. D’un coup je reprends mes esprits et m’accroupis. La voiture redémarre et disparaît. La circulation est trop importante pour continuer ma cueillette sans risque.
Je tresse les feuilles glanées pour me faire un pagne et un soutien-gorge. La longueur me permet juste de les tresser ensemble, mais ça a l’air d’aller. Essayage de mon soutien-gorge ; un peu court, et il me faut le fermer. Je noue deux feuilles, ça tient. Je me lève et passe mon pagne. Je m’observe : c’est très court, il ressemble à une large ceinture pleine de trous, idem pour mon soutien-gorge. Heureusement que mes seins ...
... tiennent seuls. Malgré tout, ça cache l’essentiel. Trop tard pour réfléchir, il me faut sortir de ma cachette. Je longe les roseaux et sors pieds nus en courant à quelques mètres de l’employé de mairie qui ne dit mot, surpris par mon apparition. Nos regards se figent quelques secondes. S’il savait !
Arrivée à la sortie du parc, je me chausse et file en quatrième vitesse. Vite, rentrer à l’appartement. J’accélère le pas autant que je le peux ; les hommes que je croise me sourient, les femmes m’ignorent. Aucune remarque désobligeante sur ma tenue, pas de geste obscène ; je suis soulagée de ne pas trop choquer. À ainsi presser le pas, je transpire beaucoup, aussi la sensation provoquée par le vent sur ma peau et mon sexe me rappelle que je suis pratiquement nue. Cette pensée me déconcentre. Cela doit bien faire dix minutes que je marche, et j’ai du mal à rester concentrée. Je suis de plus en plus excitée, et la réaction produite par l’air qui s’immisce entre les lèvres de mon sexe me confirme que je mouille abondamment. Par précaution, je n’emprunte que des petites rues peu fréquentées. À travers les trous de mon pagne, j’entreprends de me caresser. Je n’en peux plus, je suis trop excitée. À l’abri d’une voiture stationnée, je m’accroupis et me pénètre de mes doigts. Puis, dans un geste fou, je détache mon pagne et descends ma brassière. Ça y est, je suis nue dans la rue ! Je retire ma mule droite et écarte ma jambe le plus possible. Je me dis que je suis nue sur le trottoir, que ...