Nouvelles expériences
Datte: 23/02/2020,
Catégories:
f,
fépilée,
bizarre,
jardin,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
fist,
init,
Auteur: Anne désir, Source: Revebebe
... reposée. Voulant me redresser, une douleur m’interrompt. Les événements de la nuit me reviennent à l’esprit ; je suis allongée nue sur la pelouse du parc, empalée sur une grille, et il fait jour ! Il me faut fuir, rentrer tant qu’on ne m’a pas vue. Vite, me dégager. Je me soulève, et tout doucement fais glisser l’intrus. La douleur m’arrête : c’est trop gros, et je suis trop sèche ! Affolée, je mets de la salive sur mes doigts et masse l’entrée de mon vagin. J’entends des voix ! Je tente à nouveau de me soulever ; c’est mieux. J’entreprends de lents allers-retours. Vite, il me faut mouiller ! Comme une folle, je maltraite mes seins et mon clito. Alors que je commence à prendre du plaisir, la grille s’extrait enfin de mon corps.
Je me lève en regardant autour de moi : personne. Partir de la pelouse, récupérer mes chaussures. Alors que j’emprunte l’allée centrale, j’aperçois un camion de la mairie stationné ; un employé en fait le tour. Il ne m’a pas encore vue. Un demi-tour en retraversant la pelouse me sauve. Impossible de sortir du parc : l’employé est sur le chemin que je dois emprunter.
Tout d’abord, me cacher ; je me réfugie derrière une haie de roseaux. Quelle panique, j’en ai les jambes qui tremblent ! Derrière la haie, un petit chemin puis un mur de pierre haut d’un mètre, surmonté d’une grille en fer forgé, et derrière cette clôture, la rue qui surplombe mon abri. L’agent de la mairie arrive sur la pelouse où j’étais étendue il y a peu en poussant une tondeuse. ...
... Je n’en reviens pas qu’il fasse jour ; comment ai-je pu perdre tout ce temps ?
Accroupie, j’observe le jardinier à travers la haie ; j’attends qu’il s’en aille. Le temps s’écoule, jouant contre moi. La ville se réveille lentement, des véhicules commencent à circuler dans la rue derrière la clôture. Recroquevillée, je suis complètement affolée du piège dans lequel je me suis mise. Il va en finir avec cette pelouse ? Ça y est, il s’est arrêté. Il tourne autour de la tondeuse, règle quelque chose, redémarre, s’arrête. Il démonte quelque chose : il est en panne !
Je m’assois le dos contre le mur en attendant qu’il s’en aille. Le camion des poubelles passe. J’en suis sûre, je suis perdue ; il est trop tard, on va me découvrir. Je regarde mes seins, mon ventre, mon sexe imberbe d’où jaillit mon bouton gonflé, mes jambes, mes pieds. Je m’imagine saisie, exhibée, touchée partout. Cette pensée m’est étrangement très agréable ; je passe la main sur mon sexe : je mouille ! Que m’arrive-t-il ? Non, je ne veux pas, on ne me prendra pas nue. Il me faut trouver une solution. Une multitude d’idées traversent mon esprit. La conclusion est toujours la même : il me faut me résigner à aller demander de l’aide au jardinier. Je me sens honteuse ; que va-t-il penser de moi ? Et si c’était un pervers, s’il en profitait pour appeler ses collègues pour m’exhiber ? Je n’arrive pas à trouver le courage de me rendre, je cherche des raisons de ne pas le faire. Il doit bien y avoir deux heures que je ...