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La piscine
Datte: 21/02/2020, Catégories: Anal Hardcore, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Deuxmars3, Source: xHamster
... Léna exprime pour la première fois un « ho ! » de contentement, de truculence, de curiosité. Elle sait qu’elle va poursuivre cette jouissance dans le tourment de la rencontre entre la délectation et le proscrit. L’excitation que procure cette perspective réveille en Léna une fougue insoupçonnée. Elle accueille pleinement l’homme avec le désir de lui faire perdre ses moyens. Il est surpris par l’audace de ce bassin qui mène la danse. Son sexe, solide, pénètre un chemin étroit, marqué par des passages savoureux de bonheur. Ils ont conscience de chaque centimètre de leurs peaux. Léna exprime de plus en plus sa jouissance. Sa voix résonne dans ce vestiaire. Elle veut ressentir encore et encore la fleur de l’interdit. Elle s’essaye à toutes les postions en conservant le sexe de l’homme dans son antre jusqu’à pouvoir recevoir le jet de la douche sur son sexe ouvert. Cette sensation l’invite à imaginer que plusieurs hommes l’accompagnent dans son plaisir. Cette idée l’excite d’avantage. Elle s’assoit et se relève de plus en plus vite sur le sexe de l’homme. Elle s’offre entièrement, crie, hurle, explose à perdre conscience. Cette seconde jouissance est vive, courte, explosive. Se retournant, elle saisit ...
... fermement le sexe de l’homme pour l’emporter aux nuées et au point de non-retour. Quelques mouvements suffisent à enclencher un déchainement volcanique qui se mêle aux perles d’eau. Respiration profonde. Les douches viennent de s’arrêter. La minuterie de la piscine a mis fin aux lueurs des néons. On entend le ploc des gouttelettes qui tombent sur le carrelage où s’exposent deux corps. La chaleur qui s’en dégage assèche le sol. La force de l’expérience vécue et la perte de repères temporels les conduisent à s’endormir. Lorsque le premier rayon du soleil atteint le corps de Léna elle constate qu’elle se trouve seule dans cet immense vestiaire. Sa montre indique 8h15. La piscine ouvre dans un quart d’heure. Il lui faut moins de temps pour s’habiller, se coiffer, se maquiller légèrement et s’éclipser par l’issue de secours. Elle marche le long de l’avenue qui la mène sur le lieu de son travail, elle regarde les quelques feuilles encore présentes sur les arbres tombées. Léna repense à cette bulle qu’elle vient de vivre, cet instant hors du temps, cette magie. Son expérience érotique a offert à son corps les prestiges enfouis de son esprit. La fatigue ne l’envahit pas. Elle sait maintenant ce que signifie exister.