1. La piscine


    Datte: 21/02/2020, Catégories: Anal Hardcore, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Deuxmars3, Source: xHamster

    ... long de son sexe, mais aussi de ses fesses. Cette danse dure de longues minutes sous une pluie chaude. L’humidité des douches, de son corps, de son être la plonge comme dans un bain bouillonnant. Elle n’ose se retourner de peur d’être saisie d’effroi devant ce membre si puissant. Mais maitrise-t-elle vraiment ses choix ? Son esprit et son corps sont attirés par l’érotisme absolu de l’instant.
    
    Les amants se font de nouveau face, l’eau ruisselle, Léna glisse le long du corps puissant, tentant vainement d’agripper des muscles qui se dérobent à elle. Agenouillée, elle découvre l’étendue de cette vigueur. Un sexe ferme s’expose à ses yeux. Léna le saisit d’une, puis de sa seconde main. Surprise de pouvoir encore voir apparaitre l’extrême plaisir de l’homme, elle l’accueille à travers ses lèvres. Sa langue se délecte de cet extrême gonflé, chaud, et si doux. Elle se surprend à engager des caresses frénétiques, en les rythmant de mouvement avec ses mains. Elle sent qu’elle maitrise maintenant le tempo. Sa langue tourne à une vitesse folle provoquant des contractions incontrôlées. Léna fixe le bleu profond des yeux de l’homme. Pour la première fois, l’homme s’abandonne. Il est à sa merci. Elle le tient, de ses mains, de sa bouche. Elle joue avec lui, fière de cette maitrise. Jamais elle n’avait eu ce sentiment de domination. L’eau se mélange aux caresses. Léna ne pense qu’à aspirer celui qui se tient devant elle, allant au bout de ce qu’elle peut mettre dans sa bouche. L’envie ...
    ... est décuplée chez les deux amants par la crainte d’être surpris. Elle repense à cette chanson : «
    
    Personne ne te voyait sous mon petit pull marine, m’enlacer j’t’embrassais jusqu’au point de non-retour, plutôt limite de notre amour
    
    ».
    
    Leur chorégraphie passionnée se poursuit au sol. L’inconfort du carrelage n’existe plus tellement leurs esprits sont en fusion. Ils se devinent. L’envie de n’être qu’un est plus fort que tout. Leurs sexes aimantés se délectent. Léna ne soupçonnait pas la sensibilité extrême de son corps et les frissons sur chaque aller et venue du sexe de l’homme en elle. Elle ressent l’énergie de ce sexe envahir l’entièreté de son être. C’est comme si tout son corps était parcouru par un influx sensoriel. Le monde peut s’arrêter. L’infiniment grand, les étoiles filantes, les rayons du soleil sont en elle. Elle jouit.
    
    Cette jouissance est différente de celles qu’elle a pu connaître. Elle survient dans un moment de plénitude et se poursuit, se décuple, s’accroît de secondes en secondes. Léna ne peut crier, elle exprime son orgasme par des spasmes délicats. Elle découvre que ce plaisir ressemble à l’éternité. Elle accroche les épaules de l’homme comme pour mieux entrer en fusion, l’obligeant à la pénétrer de toute sa longueur, et découvrant des zones sensibles inconnues. Léna veut poursuivre cette délectation pour ressentir la vie absolue. L’homme a bien perçu la force de l’envie. Son sexe découvre une autre voie plus étroite, mais infiniment exquise. ...