1. J'ai sauté le pas


    Datte: 20/02/2020, Catégories: fh, uro, Auteur: Gigi 02, Source: Revebebe

    ... inspiration résolument moderne apportent des touches de couleurs vives, voire même criardes, mais sans jamais être dérangeantes – on sent que la maîtresse de maison a du goût, et des moyens – et enfin, lui aussi accroché au mur, l’inévitable écran de TV.
    
    Tout sourire, ma jolie veuve, aimable et prévenante ; elle me propose un café que j’accepte bien volontiers, me le sert, et pour finir, vient s’asseoir près de moi, sur le canapé.
    
    — Et maintenant, Julien, si nous abordions le sujet qui nous intéresse.
    
    Enfin ! Nous allons passer aux choses sérieuses, d’ailleurs ostensiblement, elle se rapproche, presque contre moi ; l’envie me prend de poser la main sur elle, mais c’est peut-être encore un peu tôt…
    
    — Allez, dites-moi tout, Julien, j’ai envie de tout savoir sur vous, par exemple, depuis quand, ce désir d’une expérience uro avec quelqu’un ?
    
    C’est l’heure des confidences ! Alors je lui raconte, mes premières envies de jouer à« touche-pipi » qui remontent à l’adolescence, ce désir encore inassouvi de voir une femme uriner, la difficulté de faire admettre cette envie à mes relations, et jusqu’à cette idée de l’annonce sur le net mais sans trop entrer dans les détails, il y a des choses qui ne la regardent pas, après tout. Finalement, c’est elle qui pose la main sur moi.
    
    — Mon « parcours » est assez semblable au vôtre, en fait, j’ai pris conscience très tôt du plaisir que faire pipi pouvait m’apporter ; et jusqu’à l’adolescence, je prenais plaisir à mouiller mes ...
    ... culottes, au grand désespoir de ma mère, qui évidemment, était à cent lieues de se douter que c’était volontaire et que j‘y prenais plaisir ! Plaisir que je m’accorde encore quelquefois, d’ailleurs ; et puis un jour, il n’y a pas très longtemps, j’ai eu envie, comme vous, de partager mes « distractions » avec quelqu’un, et vous voilà…
    
    Hé, pas si timorée que cela, finalement, la miss, et à l’écouter, je sens l’excitation me gagner… Pourtant quelque chose me titille encore et je risque une question :
    
    — Mais, et avec votre mari ?
    
    Son regard s’assombrit et ses traits se durcissent ; compris ! Sujet tabou, à éviter !
    
    — Mon mari ? J’ai essayé de lui en parler une fois, il m’a menacée de me faire enfermer, je n’ai pas insisté, il aurait été capable de le faire.
    
    Bon, moi non plus je n’insiste pas, mais cela devait être un drôle de coco, son bonhomme.
    
    — Mais dites-moi… Cécile – je prends sur moi de l’appeler par son prénom, elle use bien du mien, elle – comment envisagez-vous notre relation, maintenant ?
    
    Elle me prend la main, carrément.
    
    — Mais de la manière la plus simple qui soit, Julien.
    — C’est à dire ?
    
    Elle me sourit, se recule un peu, comme pour me voir en entier.
    
    — Déshabillez-vous !
    — Pardon ?
    — J’ai dit « Déshabillez-vous », à moins que vous ne préfériez que j’inonde vos vêtements.
    
    J’ai un vague moment d’incompréhension, tout à coup ; à vrai dire je ne voyais pas du tout notre entrevue se dérouler de cette manière-là.
    
    — Ah parce que vous ...
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