1. Le gamin au pensionnat


    Datte: 28/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: charime, Source: xHamster

    ... lèche, suce, pompe, turlute, culs et sexes, sa main caressante sur mes fesses. Ce cul si dodu, je le fesse encore et encore, ne retenant pas mes claques et la novice hurle sa douleur, gémit son plaisir quand elle jouit sans se retenir, criant plus fort encore. Le cul rouge, parfois même bleu de la nonnette, appelle à mes baisers les plus doux, mes caresses les plus apaisantes. La novice jouit de mes attouchements quand je jouis en son fondement plein. Cette fois, je n’en peux plus, et pourtant, dans ma position, la mère supérieure m’encule sauvagement et je hurle mon bonheur. Je jouis dans la douleur, je me couche le long de la novice qui m’enlace de ses bras. Sur ma queue, un peu forcée, Martine me la lave de sa langue. Si au début, peu habituée, elle semble détester, très vite, elle s’applique, se donne sous les claques d’une de ces nonnes vicieuses. Mes yeux, irrémédiablement, se ferment. Dehors, la nuit est tombée depuis bien longtemps.
    
    Si je ne suis pas l’élève prodige que mes pieux parents rêvent que je sois, il est une branche où je frise la perfection, l’excellence, pratiquement du vingt sur vingt, en sexologie appliquée. Oui, nous avons délaissé la théorie. Rien n’est mieux que la pratique. Entouré de Martine, de la novice, la future sœur Marie-Gabrielle de Saint-Eutrope, ce nom, par la suite, j’apprendrais son origine et tout ce qu’il signifie, je vis un rêve que tout ado voudrait vivre.
    
    Caressant ces deux corps endormis, je m’habille. Une fois n’est pas ...
    ... coutume, je me rends dans la chapelle sans y être contraint, de mon plein gré. Je découvre l’ensemble des nonnes agenouillée, les culs à l’air, les dos dégagés de tout tissu, la mère sup lisant un évangile qui conte un des très nombreux supplices racontés dans la bible, passe parmi elles, frappant de son martinet ici ou là, un cul, une cuisse, un dos. Aucune ne cherche à fuir les coups violents. Au contraire, c’est à croire qu’elles veulent souffrir. En voyant l’imposant cierge qui trône devant l’autel, je me rends compte que nous entrons dans la période de Pâque et donc, le christ qui va mourir en croix. Dans ma petite tête, j’imagine que c’est pour se faire pardonner des sévices qu’elles nous infligent à longueur d’année. Je me glisse derrière la seconde novice du pensionnat, 19 ans, c’est juste pour admirer son cul sous sa tunique tendue, la seule qui n’est pas dos et cul nu. La mère sup me fixe l’espace d’un instant, me fait un signe approbateur de la tête en me souriant malicieusement. Ma main glisse aussi sec sous cette tunique tendue, la relève prestement. Un frisson parcoure le corps de la demoiselle. Sa voisine, m’ayant vu, retient cette novice de toute action pouvant perturber les prières, la flagellation. Mes mains caressent ce corps, ma bouche baise ces fesses bien faites. La novice ne peut retenir un doux gémissement. Cela retourne bien des têtes et qui me sourient quand elles me voient dans l’action. Aussi, avec l’aide de Sœur Gisèle de la Compassion, je me glisse ...
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