Merci, Maître - Histoires de Sexe

Merci, Maître

... compte. Je vous prie de me pardonner en me corrigeant, mon bon Maître.
— Certainement pas, sachez que j’ai apprécié cette douche dorée. De plus, vous avez très bon goût.
— Ah ? Et vous désirez que je lèche mon urine sur votre corps, Maître ?
— Parfaitement. Et je veux que vous vous régaliez.

Face à moi, les yeux fermés et les mains jointes dans le dos, elle tend une langue timide au contact de mon torse. Le premier temps de surprise passé, elle s’active à me lécher la moindre parcelle de mon corps où elle peut sentir son urine.

— Vous avez l’air d’apprécier.
— C’est la première fois que j’y goûte et j’avoue que ce n’est pas déplaisant. Pourrais-je goûter la vôtre, Maître ?
— Chaque chose en son temps, chère Soumise. Ne désiriez-vous pas que je vous honore avant ?

Son œil pétille à cette question. Elle se jette à mes genoux et love son visage contre mes cuisses.

— Oh oui, mon bon Maître ! Je vous désire en moi.
— Vous allez me placer dans ce cas un préservatif.
— Pouvez-vous me guider, Maître ? Je ne l’ai jamais fait.
— Bien entendu.

Je m’en saisi d’un dans la poche de ma veste, l’en débarrasse de sa protection et le tend à Sylvie.

— Voyez, il se présente comme un chapeau chinois. Saisissez-le entre votre pouce et index par le petit réservoir situé au-dessus et placez le sur mon gland… Voilà. Et de l’autre main vous n’avez plus qu’à le dérouler délicatement et entièrement… Parfait.
— C’est simple en fait. Puis-je vous sucer ainsi, Maître ?
— Si ...

... vous le désirez.
— Merci, Maître.

Du bout de sa langue, elle joue avec le réservoir puis m’engouffre en une prise toute la verge. L’effet est immédiat. La douceur et la chaleur de sa bouche ont tôt fait de me faire naître la sensation d’orgasme que je réfrène immédiatement. Je me dégage délicatement de sa bouche gourmande.

— Placez-vous face à la tablette en prenant appui de vos mains dessus.
— Comme ceci, Maître ?

Elle a parfaitement compris la position désirée. Ses mains bien en appui sur la tablette, elle tend sa croupe en offrande. Je défie quiconque à cet instant de rester insensible à un si beau cul ! Du plat de la main, je lui cambre un peu plus les reins pour mieux me présenter derrière son sexe. La lente possession de son intimité fait perler quelques gouttes de sueur sur son dos. Lorsque mes hanches sont au contact de ses fesses, je me saisis de ses cheveux comme pour la forcer à s’empaler davantage sur mon pieu. Sa respiration s’emballe, aussi son bassin s’anime en douces ondulations verticales. Ses muscles vaginaux entrent en action autour de ma pine. L’effet est divin. Le contrôle de la montée de ma jouissance m’est difficile. Nous sommes trempés de sueur. Pourtant le coït ne s’accélère pas. Le plaisir est intense, nous sommes quasiment en transe.

Je ne peux détacher mon regard de la vue que m’offre son cul magnifique. Son œillet dilaté me nargue. Je lui introduis délicatement mon majeur pour exercer une pression sur ma queue au travers de sa membrane ...