Merci, Maître - Histoires de Sexe

Merci, Maître

... !
— Oui, mon Maître.

Elle se redresse légèrement sur ses genoux et tend les mains vers ma ceinture. Ses doigts délicats en dégrafent la boucle puis la font glisser entièrement des passants de mon pantalon. Je rattrape la ceinture avant qu’elle ne tombe au sol. Les yeux de Sylvie sont interrogatifs. Croit-elle que je vais la fouetter avec ? Je ne lui laisse rien deviner. Elle poursuit mon déshabillage en faisant sauter le bouton de mon pantalon. Toujours aussi délicatement, elle saisit avec ses dents la fermeture-éclair et la fait glisser avec grande habileté en suivant les contours de mon érection présente. Attrapant mon pantalon, le voici à mes pieds qu’elle m’en dégage.

Toujours à genoux, elle entreprend de défaire un à un les boutons de ma chemise. À chaque bouton, elle en profite pour me caresser le torse avec douceur avant de s’occuper du bouton suivant. Ma chemise et ma ceinture rejoignent le reste de mes affaires. Sylvie devine parfaitement mon état d’excitation au travers de la déformation de mon boxer que fait ma verge en érection. Je me débarrasse de mon boxer et affiche mon sexe tendu à ma Soumise. Toujours à genoux, elle replace ses mains jointes dans le dos et approche son visage de mon sexe pour le humer de tout son long. De la pointe de sa langue, elle me titille l’arrière de la naissance de mes testicules. L’effet en est sublime. Je ne peux m’empêcher de penser à Karl et de l’envier d’avoir une épouse aussi experte dans l’art de la fellation. Sa langue ...

... à présent me lèche les couilles, qu’elle gobe une à une en me les malaxant toujours de sa langue quand elle les a en bouche. Toujours de la pointe de sa langue, elle poursuit en remontant le long de ma verge, s’attardant sur le frein. Les lèvres bien arrondies, elle me prend en bouche et d’une lente progression m’avale jusqu’à la garde. Ne bougeant plus, je sens la douce caresse de sa langue autour de mon pénis planté au fond de la gorge de ma fellatrice. Mon érection est à son paroxysme, aussi entreprend-elle de lents va-et-vient en me pressant la tige de ses lèvres. À chaque fois qu’elle me libère, j’aperçois un filet de salive qui la relie à mon sexe. C’en est trop. Je l’attrape par la nuque et me plante au plus profond de sa gorge au risque de l’étouffer. Je la sens suffoquer. Des larmes lui coulent des yeux. Elle essaie tant bien que mal de poursuivre sa fellation. Mais je maintiens ma pression. Ses yeux sont totalement noyés à présent. Elle tente de réguler sa respiration par de fortes inspirations nasales. Lorsqu’elle a enfin repris le contrôle de sa respiration, je lui pilonne à nouveau la bouche. Celle-ci régurgite d’amas de salive à chacun de mes retraits. Elle ne peut s’empêcher d’émettre un gargouillis sonore dès que je reprends possession du fond de sa gorge.

Ces allers-retours puissants dans sa bouche lui semblent interminables. Par ses cheveux noués autour de mes mains, je lui imprime le rythme de succion. Parfois je me dégage entièrement de sa bouche pour ...