Rêverie manuelle
Datte: 19/02/2020,
Catégories:
h,
fagée,
jeunes,
cérébral,
Masturbation
Humour
Auteur: Armel, Source: Revebebe
... petit frisottis châtain, sans prétention foisonnante. Je le vois très bien s’hérisser au moindre effleurement de mes doigts avides, mais délicats quand même, il ne faut pas abuser. Aux plis de ce même pantalon, là, juste à l’entrejambe, je devine un pubis étroit et légèrement proéminent, aux lèvres boudeuses. Je sais avec quoi les petits malins qui me lisent risquent de faire rimer cet adjectif… Fi de ceux-là, je continue malgré tout.
Mes doigts, je les vois très bien alors s’enquérir de l’état d’avancement de son excitation naissante. Ce qui m’échauffe le plus à cet instant de mes fantasmes, c’est de me demander comment cela se manifeste. J’essaie d’imaginer ce que peut produire chez elle ma main qui s’immisce entre ses cuisses et au-delà. Pousse-t-elle des petits cris ? Se contente-t-elle de soupirer avec plus ou moins d’intensité en fonction de la progression ? Et comment son corps tout entier réagit-il ?
Elle, je la vois bien se mordre une phalange et ne plus trop savoir comment retrouver son équilibre. Des petits cris de souris, j’en suis sûr. Surtout quand le doigt devient plus fouineur et commence à s’enfoncer à l’intérieur. Je sens que c’est très chaud. Que ça doit dégouliner très vite.
Là, ma seringue durcit sévèrement. J’en suis encore au stade d’un massage un peu sec. Je serre un peu plus à la base de la verge en dégageant bien le gland. La rougeur sanguine est prometteuse.
Je ferais ensuite descendre le pantalon, mais pas tout en bas, à peine à ...
... mi-cuisses. Je ne vois pas du tout quel genre de culotte elle a l’habitude de mettre. En tout cas, j’adorerais contempler ce postérieur si aguichant.
L’autre jour, si je ne m’étais pas retenu, je me serais bien jeté sur le haut qu’elle portait, vous savez, ces espèces de tee-shirt sans manches et sans bretelles qui enserrent l’abdomen et la poitrine comme un fourreau, jusque sous les aisselles… Tout blanc, le truc, et les charmants seins tout ronds prisonniers de la toile élastique. Je l’aurais baissé d’un coup, par derrière, et les deux melons bien mûrs auraient jailli à l’air libre. Elle a l’âge des tétons solides et saillants. Un petit index entre les fesses ajoute du piment, et permet de me lubrifier naturellement le creux de la main.
Delphine, elle, a pour elle l’attrait de la jeunesse. Dommage qu’elle ne s’enveloppe que de vêtements informes. Difficile de se faire une idée de ses courbes. Ah, non, tiens, l’autre fois, elle est passée (mais pas seule), et je me souviens de ses épaules dégagées, dorées à souhait, et des bretelles de son soutien-gorge. Je crois que tout est parti de là.
De mémoire, des petits seins. Le reste, on a l’impression qu’elle le cache. Tant mieux, c’est la surprise et la place de l’imagination. C’est sa bouche que je connais le mieux, visuellement. Et ça tombe bien, car j’ai surtout envie d’elle, de mieux la connaître. M’emparer de ses lèvres et de sa langue avec la mienne… Mmm ! Ça me stimule. Tant de choses à lui faire découvrir… L’inverse est ...