1. Un service


    Datte: 19/02/2020, Catégories: fh, fhh, cocus, Collègues / Travail boitenuit, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe échange, confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... excitant pour moi aussi.
    
    L’entendre change aussitôt l’ambiance. Si Sam n’est pas au courant des détails, il peut bien imaginer avec le vécu qui est le sien.
    
    — Beaucoup !
    — Chérie, lève-toi et montre-lui combien tu es belle.
    
    Bien sûr, je m’exécute.
    
    — Ouvre ton manteau.
    
    Défaire chaque bouton est comme si ma vie en dépendait. J’apparais telle que Sam m’a vue tout à l’heure, mais pas encore mon mari. J’aime le regard qu’il me porte. Quelle femme n’apprécierait pas que son mari, avec qui elle vit depuis tant d’années, porte encore sur elle un regard de fierté, d’envie, d’amour.
    
    Il tourne autour de moi. Ses mains se saisissent de mon manteau et le font glisser de mes épaules. J’apparais avec mes parures. Parures de dentelle, de cuir et de soie. Exactement comme l’avait pensé Charles dans sa vision. Tout était décrit avec une précision comme s’il l’avait déjà vécu. J’ai commandé sur le net avec livraison d’urgence pour tout rassembler.
    
    Petit collier de cuir laqué avec strass autour du cou. De l’anneau pend une fine laisse métallique qui tombe jusqu’aux reins.
    
    Soutien demi-balconnet noir quipush up mes seins pour en montrer un lobe supérieur parfaitement arrondi et un téton qui semble reposer sur l’armature habillée de dentelle.
    
    Le porte-jarretelles est plus classique et maintient les bas de soie. De soie noire !
    
    Enfin, la culotte, triangle si insignifiant que l’imaginer fendu aurait été superflu, uniquement retenue par trois ficelles qui ceinturent ...
    ... les hanches et dont l’une disparaît dans la raie de mes fesses pour revenir au niveau des reins.
    
    Charles découvre ce qu’il a rêvé, mais j’aime aussi le regard admirateur de Sam qui m’a pourtant déjà vue ainsi.
    
    — Tourne-toi pour qu’on te voie bien.
    
    Non, je ne me sens pas humiliée de cette demande.
    
    Non, je ne suis pas une esclave que le trafiquant vend au plus offrant.
    
    Oui, je suis le centre du monde. Un monde ou deux hommes m’admirent. Ou l’un, mon mari veut offrir à l’autre ce qu’il a de plus cher. Ou l’autre, Sam, ne souhaite que cela. Cette offre augmentant encore son désir.
    
    Et moi ? Moi, la femme modèle. Moi la femme qui a découvert cette nuit ce que partager veut dire. Et bien moi, je me sens bien dans ce rôle.
    
    — Sam. Approchez, reprend mon mari. Regardez comme ses seins sont fermes.
    
    Il détache mon soutien-gorge.
    
    — Sentez la douceur de sa peau.
    
    Des mains me caressent. Je frémis. Je sens que ma culotte est enlevée. Même ce détail a été pensé par Charles. La culotte devait être mise par-dessus le porte-jarretelles afin de pouvoir la faire descendre. Car son rêve est que je reste gainée de soie noire. Pourquoi ne m’a-t-il jamais demandé de m’habiller ainsi ? Mais c’est trop tard.
    
    — Elle est à vous.
    
    C’est mot pour mot ce qu’il a écrit. Charles recule me laissant seule avec Sam. Je connais mon rôle. Sam non, mais il est bien facile de le conduire.
    
    Il me caresse. Juste des effleurements comme s’il n’osait pas encore. Pas encore, devant cet ...
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