Un service
Datte: 19/02/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
Collègues / Travail
boitenuit,
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe
... Certainement pas. Juste un besoin de la nature qui aime bien rythmer la vie. Toujours est-il que bien vite les deux hommes nous baisent à la même cadence.
Mes yeux ne quittent plus la croupe de ma voisine et la belle bite de Sam. Sam, mon ami, mon confident. Sam qui sous ses airs de jeune homme doit avoir une sacrée expérience, après ce que j’ai vu de son ex tout à l’heure.
Même sous la torture, je ne pourrais pas dire qui a commencé. Probablement Hugo qui me bourrait depuis si longtemps. Pour les autres je ne sais pas. Ma nouvelle jouissance est encore plus forte. Et lorsque je me réveille, c’est pour découvrir ma voisine la tête sur le lit, la croupe en l’air, une queue grasse qui se frotte encore, mais sur elle et cette traînée blanchâtre, traînée du foutre de son amant, de Sam.
C’est sous la douche que je commence à réaliser ce que j’ai fait. Autour de moi, hommes et femmes se redonnent un peu de fraîcheur, évacuant sueur et bien d’autres choses qui sont la preuve de leur engagement physique. Justement, juste à côté, je reconnais l’ex de Sam. Je ne peux m’empêcher d’entamer la conversation. Il ne faut pas l’encourager bien fort pour qu’elle me donne quelques détails sur leur relation.
Le taxi est silencieux. À l’aller, c’était parce que je m’angoissais un peu. Au retour, c’est parce que j’ai encore du mal à réaliser et surtout assumer ce qui vient de se passer.
Sam, lui aussi est silencieux. Pourtant il me tient par la main, comme s’il n’osait pas briser ...
... le lien qui nous unit maintenant. Il a été le compagnon parfait de cette soirée, me protégeant, mais aussi me laissant mon libre arbitre.
Lorsqu’il me laisse devant chez moi, je le remercie de cette soirée. Juste quelques paroles, somme toute anodines et passe-partout, mais que j’accompagne d’un léger baiser sur ses lèvres. Mais à cet instant ma décision est prise.
Le lendemain, Sam est étonné de me découvrir devant chez lui. Il est encore plus surpris de découvrir ce que je cache sous mon manteau. Le baiser que nous échangeons est tout de suite torride. Mais bien vite, je le repousse.
— Du calme, nous avons tout notre temps.
— Véronique, tu es diabolique. Pourquoi venir chez moi et me refuser ce que tu me montres, ce dont je rêve depuis cette nuit ?
Le tutoiement est bien sur une évidence après ce que nous avons vécu sur le même lit.
— Patience. Je serai à toi. Moi aussi, j’en ai envie. Sers-moi quelque chose à boire. Il ne devrait pas tarder.
— Tarder ! Mais qui ?
— Chut, laisse-moi faire. Tu ne le regretteras pas.
Et j’accompagne ces mots d’une caresse sur son visage.
Heureusement l’attente n’est pas longue. En principe j’ai bien tout calculé. On sonne.
Sam bondit.
— Laisse, je vais ouvrir.
Je me lève, referme soigneusement mon manteau et avant de me diriger vers la porte, avoue.
— C’est mon mari. Charles. Je lui ai donné rendez-vous ici.
— Mais pourquoi ? Tu as bien dit qu’il est jaloux. À quel jeu joues-tu ?
— Chut. Rassure-toi. Tout ...