1. Eté 1939


    Datte: 17/02/2020, Catégories: Hardcore, Auteur: jaimelesrondesmures, Source: xHamster

    ... rendre la pareille en descendant sa propre main sur les cuisses de sa complice. Là, il remonta sa robe et se dirigeât vers son sexe. Elle écarta les jambes pour lui laisser le passage libre et il rencontra une fente toute mouillée. Un de ses doigts s'aventura en elle et la fouilla. Il savait qu'elle appréciait cette initiative aux ondulations de son corps contre le sien et à ses soupirs langoureux.
    
    Il ôta sa bouche de la sienne, son doigt d'entre ses cuisses, puis poussa sur sa tête pour diriger son visage vers le bas de son corps. Elle s'agenouilla dans les végétaux à demi broyés, s'y enfonça un peu, du liquide courrait sur ses mollets. Elle défit son pantalon et porta à sa bouche la queue de son amant. Après quelques sucions dessus, elle passa sa langue tout du long et saisit à pleine main des fruits qu'elle pressa juste au dessus de la verge. Elle but le jus ruisselant sur la branche de chair à mesure qu'il roulait dessus. Une fois sa poignée de grains juteux vidées, elle repris à pleine bouche son travail précédent. Il gémit un bon moment avant de lui demander de se relever. Elle se redressa, mais sur le sol instable, avec les jambes engourdies d'avoir trop longtemps garder la même position, vacilla et tomba à la renverse. Elle profita de sa position, sur les fesses, les jambes en l'air, le sexe offert, pour reprendre du raison et le presser au dessus de ses cuisses. Il comprit que c'était pour la lécher et s'exécuta. De ses genoux à son aine il lapait le ruisseau ...
    ... qu'elle dirigeait selon l'endroit où elle voulait qu'il passe sa langue et ses lèvres. Elle dirigea immanquablement la fontaine vers son sexe et se retrouva bien vite à se faire brouter le minou. Elle se caressait le ventre et l'intérieur des cuisses avec du raisin écrasé tandis qu'il tétait son sexe, si bien qu'elle dressa le bassin vers lui dans un ultime spasme et dû se mordre les lèvres pour ne pas ameuter tout le voisinage des ses cris de plaisir.
    
    Elle se releva ensuite, le déshabilla complètement, en s'attardant sur son bas ventre, se dévêtit elle-même et s'allongeât complètement nue dans la cuve. Elle l'invita à la rejoindre et ils s'enivrèrent un bon moment à s'embrasser le corps enduit de fruits et de jus.
    
    Ce jeu eu duré longtemps encore si ils n'avaient pas entendus du bruit dans le chais. Ils se dépêchèrent de sortir du lieu de leurs ébats, récupérer leur habits disséminés autour et allèrent se cacher entre deux tonneaux. Là, serrés l'un contre l'autre, pouffant de rire entre deux baisés, ils se blottirent, tout collants, l'un contre l'autre. Lorsque l'ouvrier à l'origine du dérangement, fut passé, ils restèrent là car l'endroit s'avérait idéal pour ce qu'ils avaient à y faire. Elle s'était adossé au mur, légèrement surélevée par rapport à lui, chaque jambe en l'air, appuyée sur un tonneau. Il faisait face à ses cuisses ouvertes et se fichât en elle avec la plus grande des aisances lorsqu'elle l'attira contre elle. Il ne lui fallut que quelques mouvements ...