1. Épître à une jeune femme soumise (5)


    Datte: 17/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... petit cul. Ma langue finit par être endolorie, tant elle a été sollicitée à force de naviguer entre ton petit abricot, tes cuisses, tes fesses et ta rosette devenue écarlate.
    
    Quelle position humiliante pour ta Maîtresse...
    
    Nos trois partenaires nous plantent là, pour se diriger vers d’autres alcôves, sans nous manifester la moindre reconnaissance pour tout ce que nous leur avons offert. Les mufles... Pour nous réconforter et reprendre des forces, je t’entraîne vers le bar.
    
    Nous y retrouvons Erik, le patron, aidant Ursula à préparer des cocktails. La tenue de la jolie blonde qui nous a accueillis s’est beaucoup allégée : elle ne porte plus qu’une sorte de petit gilet de cuir noir, sous lequel elle est entièrement nue, et des cuissardes brillantes, aux talons vertigineux.
    
    Tout en sirotant un planteur, je les complimente sur leur club. La déco, l’organisation des salles, la clientèle...
    
    — Vous vous amusez bien, s’enquiert Ursula ?
    
    — Oui, beaucoup, dis-je.
    
    — Je vois ça, aux traces qui marquent vos deux corps.
    
    — J’ai même vu Chloé se faire soumettre, confies-tu en souriant.
    
    Je te fusille du regard.
    
    — Qu’est-ce qui te prend ?
    
    — Pardon Maîtresse. Je n’aurais pas du dire ça.
    
    J’attrape un de tes tétons, et je le tords, sans m’occuper du bijou qui l’écrase. Tu cries de douleur, les larmes aux yeux, mais je ne me laisse pas attendrir.
    
    — Une petite chienne comme toi doit se taire. Ou ne parler que lorsque je t’y autorise. Tu vas être punie !
    
    — ...
    ... Tout à fait d’accord avec toi, approuve Ursula. Si tu veux, on va retourner dans le salon des supplices. Tu n’as pas testé le carcan ?
    
    — Non, je l’ai vu, mais Laure n’y a pas goûté.
    
    — Venez avec moi.
    
    En te tenant fermement par le bras, je t’entraîne, dans le sillage d’Ursula. En approchant du "salon", un concert de gémissements se fait entendre. Lorsque nous y entrons, nous voyons deux femmes, déjà soumises à ces fameux "supplices". L’une est attachée sur la croix de Saint-André ; l’autre, ligotée, est suspendue par des cordes à une sorte de trépied métallique, offerte à un mec qu’elle suce, pendant qu’un autre homme la fiste.
    
    Ce spectacle te met tout de suite dans l’ambiance. Tu blêmis. Mais rien ne peut plus y faire. Je te conduis vers le carcan, une sorte de pilori, et je place ton cou et tes poignets dans les encoches de deux grosses planches de bois, que je resserre. Ursula règle la hauteur de l’instrument de torture, pour que tu sois cambrée, fesses et chatte offertes. Tu essaies une dernière fois de m’apitoyer.
    
    — Je t’en prie, Maîtresse... Je ne le ferai plus... Je ferai attention... Je t’obéirai, toujours !!
    
    En vain. Dans la pénombre, des hommes et des femmes s’approchent, pour assister à la curée. Du moins, c’est ce que je crois.
    
    Ursula me tend une cravache, que j’empoigne, et qui s’abat immédiatement sur ton joli cul, à la sensibilité exacerbée par tous les mauvais traitements qu’il a reçus depuis le début de cette soirée. Tu pousses un cri, une ...