1. Épître à une jeune femme soumise (5)


    Datte: 17/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... longue plainte qui résonne entre les murs de briques.
    
    Tu tentes de te recroqueviller, pour amortir les coups, mais c’est Ursula qui t’ordonne, en aboyant, de te cambrer. Et la cravache vient te flageller de nouveau. Tes seins bandés ballottent au rythme des sifflements de la cane de cuir. Tu inspires Ursula, qui saisit une roue à pics, qu’elle commence à faire rouler sur ton corps, là où il est le plus sensible.
    
    Venu de je ne sais où, on me tend un gode ceinture, dont je fixe aussitôt le harnais autour de mes hanches. Une femme m’a pris des mains la cravache, et je me prépare à te baiser. Je suis dans un état second. Jamais je n’ai éprouvé une telle excitation à dominer, à faire souffrir.
    
    Je t’entends geindre, supplier, pleurer, mais tes lamentations ne font que décupler mon désir de te posséder en te faisant souffrir.
    
    Je viens derrière toi. Je te pénètre, sans précautions ni préliminaires. Tu te cambres au moment où la bite de silicone transperce ton joli minou, et je me déchaîne aussitôt. Jamais le verbe "défoncer" ne m’a semblé mieux choisi...
    
    Pendant de longues minutes, je pilonne ton bel abricot juteux. Je suis incapable de deviner si tes cris sont des cris de plaisir, de douleur, ou de honte. Mais je jouis, égoïstement.
    
    A peine les spasmes de l’orgasme se sont-ils calmés, que je sens des mains fortes m’empoigner. Je ne réalise pas ce qui se passe, mais je finis par comprendre que Jérôme, Erik, et un grand black me conduisent vers la grande table de ...
    ... bois. La table de gang bang... Ils m’y allongent. Ils prennent des cordes, et je découvre tout l’art du bondage.
    
    En quelques instants, je suis ligotée, garrottée, immobilisée. Mes mains sont liées derrière ma nuque, par une corde qui entoure aussi mes bras, et fait saillir mes petits seins. Mes jambes, écartées, repliées, sont elles aussi retenues par un enchevêtrement de cordes, qui m’interdit tout mouvement.
    
    Je me retrouve dans une position proche de celle du fœtus, et tous mes orifices sont offerts, sans que je puisse me défendre.
    
    Alors, commencent des assauts, dont je suis incapable de dire aujourd’hui le nombre. Je me souviens des premiers. Deux, trois, quatre, cinq... Mais après. Les bites se succèdent. Dans mon con et dans mon cul. Dans ma bouche aussi. Sans doute certains m’ont prise plusieurs fois, par des trous différents.
    
    Des femmes se mêlent aux hommes. Avec des godes. Mais aussi, en montant sur la table pour venir chevaucher mon visage, frotter leurs chattes dégoulinantes de mouille sur ma bouche.
    
    Au début, j’ai senti le foutre gicler, dans mon minou et dans mon petit trou. Ou maculer mes seins et mon visage. Et j’ai joui. Avec réticence au début. Puis je m’abandonne à cette excitation très spéciale qu’on ressent lorsqu’on devient un objet sexuel. Petit à petit, ces orgasmes sont remplacés par une jouissance quasi intellectuelle, celle qui consiste à savourer le désir qu’on provoque. Puis l’épuisement m’envahit.
    
    C’est à ce moment-là qu’Ursula me ...
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