Moment d'intimité avec ma sœur Aurélie (1) - Histoires de Sexe

Moment d'intimité avec ma sœur Aurélie (1)

... pénétration, et malgré le désir de m’exécuter, je m’y refuse. Je préfère m’avancer lentement vers elle et frotter mon gland contre son fessier. J’aime faire planer le doute sur mes intentions, et Aurélie le sait, car elle ne s’en inquiète visiblement pas. Hormis ses gémissements si bandants, elle n’est pas très démonstrative. Elle n’en prend pas moins de plaisir pour autant.

Ma bite glisse le long de sa raie sans jamais s’y introduire. Parfois, il m’arrive de descendre un peu plus bas, et de presque toucher les lèvres de son vagin. Là aussi, la tentation est grande. Sa petite chatte me rend fou, le simple fait de la savoir à portée de pénis décuple ma folie. J’envie, tout en les maudissant, ses nombreux petits-copains qui eux, ont eu le privilège de tremper le biscuit. Si seulement ils savaient ce que leur ex fait à l’heure actuelle à son frère jumeau...

L’heure tourne, et je me décide enfin à quitter son cul après l’avoir longuement caressé avec mon gland. Aurélie s’empresse de reprendre ma bite en bouche et de la sucer avec fougue. Sentant l’éjaculation arriver, je presse la tête de ma partenaire contre mon pubis et déverse dans sa bouche une dose phénoménale de sperme. Sa petite mâchoire peine à recevoir autant de semence, mais elle tient bon. Je finis par m’extraire de la gueule de ma jumelle, qui déborde de mon liquide blanchâtre. Je la vois alors pencher la tête en arrière afin d’avaler mon sperme. Elle aime ça, c’est une avaleuse.

En guise de ...

... remerciements pour cette fabuleuse pipe, j’allonge ma sœur sur le lit et écarte ses jambes pour accéder à son vagin. Ma tête plonge entre ses cuisses. Je lui lape les lèvres qui, merci mon Dieu, sont mouillées. Je me délecte du nectar que sa petite chatte a produit, je n’épargne aucune goutte. Aurélie se cambre sous mes coups de langue, pousse des gémissements de plus en plus forts. Nous nageons dans le bonheur de l’inceste.

Nous n’avons encore aujourd’hui aucune idée de l’avenir de notre relation. Nous n’en discutons que rarement en dehors de nos rapports, car je crois qu’aucun de nous ne souhaite vraiment remettre en question ce que nous faisons. Nous profitons tout simplement de l’instant présent, vivant au jour le jour cet inceste comme si de rien n’était.

Aurélie n’étant pas une éjaculatrice notoire, je m’étonne de la voir soudain me déverser au visage plusieurs petits jets de cyprine. Elle crie en les giclant. C’est la première fois qu’elle va si loin dans le plaisir avec moi. J’en suis ravi et embrasse une nouvelle fois son vagin en signe de reconnaissance pour ce liquide béni. J’adore lui dévorer l’antre, la voir se détendre de la sorte. Je plonge ma langue dans sa vulve et la remue. Aurélie me supplie d’arrêter tant elle ne peut plus contrôler son plaisir, mais je refuse de céder à ses exigences. Ma tête reste coincée entre ses jambes, mon front fusionnant presque avec son bas-ventre.

Je passe ainsi plusieurs minutes à me délecter de sa vulve, à sucer sa chatte et à ...