1. Moment d'intimité avec ma sœur Aurélie (1)


    Datte: 16/02/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Gnox100, Source: Xstory

    Mince, si nos parents savaient ça...
    
    Mon nom est Antoine, j’ai 19 ans. Je suis nu, allongé sur mon lit, le pénis en érection. Ma sœur jumelle Aurélie, quant à elle, se trouve entre mes jambes, nue elle aussi, me procurant une fellation. Malgré l’épaisseur de mon chibre qui ne mesure pas moins de 18 centimètres, elle parvient à l’avaler entièrement. Ses lèvres pulpeuses ne sont aucunement gênées par les veines qui parcourent ma grande verge, et qui témoignent d’ailleurs de ma terrible excitation. Il lui arrive fréquemment de fermer les yeux lorsqu’elle me suce. Souvent, j’en profite pour la regarder. J’admire ses tatouages, ses boucles d’oreille qu’elle n’enlève jamais même pendant le sexe, sa petite poitrine, mais aussi la manière dont elle relève ses longs cheveux roux pour ne pas être gênée.
    
    Ces moments d’intimité entre ma sœur et moi durent depuis plusieurs mois, au rythme de 3 à 4 séances par semaine. Souvent, ils ont lieu le soir, ou le matin très tôt quand nos parents sont déjà partis travailler. Nous ne souhaitons évidemment pas nous faire surprendre en plein acte par nos géniteurs ! L’inceste, et la sexualité en général, sont des sujets tabous à la maison. Ironique non ?
    
    Je ne saurais dire lequel de nous deux a commencé. Pour ma part, je me souviens avoir toujours désiré Aurélie. A l’adolescence, je m’arrangeais pour la surprendre nue à la sortie de la douche. Un jour, je m’étais même emparé de l’un de ses soutiens-gorges et m’y étais masturbé. Les seins de ...
    ... ma jumelle n’étaient déjà pas énormes, mais ils attiraient mon attention. Certains fantasment sur les formes généreuses de leurs sœurs. Moi, j’étais tombé amoureux de sa finesse, qui lui donne un air fragile et innocent. Il n’en est rien. C’est au contraire une véritable tigresse !
    
    Tandis que je l’entends pousser quelques gémissements en savourant ma queue, je l’interpelle et lui demande de la recracher. Elle s’exécute, comprenant bien où je veux en venir. Elle me tourne alors le dos et expose son magnifique fessier à ma vue. Moi, je reprends le contrôle de ma bite que je masturbe vigoureusement devant ce spectacle si excitant. Si j’osais, je lui enfoncerais mon engin dans son petit trou du cul afin de l’enculer. Je sais de source sûre qu’elle aime la sodomie.
    
    Pourtant, elle et moi nous sommes promis de ne jamais franchir le cap de la pénétration, qu’elle soit vaginale ou anale. Bien que ses petites fellations puissent faire croire le contraire, nous avons conscience du caractère délicat de notre relation et qu’une limite ne doit pas être franchie. Elle reste ma sœur, et je crains un jour de la faire tomber enceinte si nous faisions l’amour. Se restreindre à des pipes et des cunnilingus est de loin la meilleure des contraceptions. Aurélie partage d’ailleurs mon avis.
    
    Tandis que je branle mon pénis en érection, les yeux rivés sur son cul, elle agrippe ses fesses et les écarte l’une de l’autre pour mieux me faire voir son petit trou. J’y vois presque une invitation à la ...
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